Le fils aîné de Sean « Diddy » Combs, Justin, se serait vu interdire de louer des maisons de luxe à Los Angeles (États-Unis).
Tel père, tel fils. Justin Dior Combs, le fils aîné de Diddy, semble suivre les traces de son père, célèbre pour ses soirées extravagantes dans les années 2000. Selon le New York Post, le jeune homme est banni de louer des maisons à Los Angeles en raison des dégâts importants causés par ses soirées dans les propriétés, a rapporté le New York Post.
« L’entreprise avec laquelle je travaille louait des maisons à Justin. Il a dit : « J’invite 20 personnes », mais il y en avait 200 et ensuite ils ont détruit la maison. C’est arrivé au point où personne ne veut lui louer. Il m’a appelé pour louer et j’ai dit non», a raconté un courtier, sans donner de détails sur les dégâts causés.
Tel père, tel fils ?
L’avocat du jeune homme, Jeffrey Lichtman, a défendu son client, précisant qu’il n’avait pas eu de problèmes juridiques récents. “Justin n’a pas été accusé d’un crime ni engagé de poursuite civile concernant aucune de ces accusations pour une seule raison : il n’a rien fait de mal”, a-t-il déclaré. Même si aucun incident majeur n’a été signalé lors des soirées, l’acteur publie régulièrement sur Instagram des photos et des vidéos de soirées, souvent en compagnie de son père et de leurs amis.
Les soirées blanches de Diddy, remplies de célébrités, étaient connues pour leur extravagance. Cependant, depuis une série de procès et son arrestation en septembre pour trafic sexuel et racket, les enquêteurs ont allégué qu’il avait organisé des « freak-offs », des soirées sexuelles au cours desquelles il enregistrait et incitait à la participation par « violence et « intimidation ».
Le magnat du hip-hop, qui a nié toutes les accusations, a tenté à trois reprises d’obtenir une libération sous caution auprès du centre correctionnel de Brooklyn où il est actuellement détenu, mais ses demandes ont toutes été rejetées.
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