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Un début de panique se fait sentir parmi les responsables américains. Près de deux semaines après la nomination d’Elon Musk au ministère de l’Efficacité du gouvernement, qui aura pour objectif de réduire le budget fédéral, par le président élu Donald Trump, le patron de SpaceX a commencé à nommer des victimes potentielles sur les réseaux sociaux.
Sur X, le réseau social qu’il possède, Elon Musk a récemment révélé les noms et fonctions de plusieurs fonctionnaires qu’il souhaiterait licencier, avant de supprimer ses publications.
Une méthode qui s’apparente au cyberharcèlement et qui a provoqué la suppression des réseaux sociaux d’une personne ciblée par le milliardaire sud-africain, en raison des nombreuses menaces publiées par les partisans d’Elon Musk.
Elon Musk, adepte de cette pratique
Selon Everett Kelley, président de la Fédération américaine des employés gouvernementaux, « ces tactiques visent à semer la terreur et la peur parmi les employés fédéraux, elles visent à leur faire peur de s’exprimer ».
Plusieurs fonctionnaires ont notamment déclaré à CNN qu’ils envisageaient de quitter leur poste en raison des risques de menaces psychologiques et physiques. Ces derniers craignent notamment d’être des cibles d’Elon Musk sur les réseaux sociaux.
Par le passé, le patron de Tesla, X ou encore SpaceX, a déjà été accusé de harceler ses salariés ou toute autre personne se mettant en travers de son chemin ou ayant commis des erreurs.
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