Comment s’aime-t-on aujourd’hui ? Y a-t-il une âme sœur ou plusieurs partenaires ? Et le célibat ? De la rencontre à l’épreuve de la routine, en passant par ces nouvelles pratiques amoureuses et le bouleversement provoqué par #MeToo, toutes les questions qui tourmentent nos cœurs sont abordées dans Les Français, l’amour et le sexe. Ce documentaire, que M6 diffuse le lundi 9 décembre 2024 à 21h10, s’annonce comme un événement. Il faut dire qu’à la réalisation et à l’animation, on retrouve Karine Le Marchand. Quelques semaines avant la diffusion, Multi-Loisirs a rencontré la présentatrice qui s’est confiée sur sa vision de l’amour et sa vie privée.
Karine Le Marchand dévoile sa vision de l’amour « américain »
Quarante témoins, âgés de 18 à 70 ans, s’expriment librement : c’est le panel réuni par Karine Le Marchand et la réalisatrice Delphine Cinier pour faire le point sur l’amour et la sexualité des Français d’aujourd’hui. Et s’il y a une chose que ce documentaire nous enseigne, c’est qu’il n’y a pas qu’une seule façon d’aimer et de désirer. Et elle n’est pas l’hôte de L’amour est dans le pré Qui dira le contraire ! Lassée du modèle vendu par les contes de fées, cette dernière milite désormais pour une vie de couple « à l’américaine ». Car oui, les Etats-Unis auraient tout compris : « Ils considèrent le couple comme une équipe. Je trouve romantique de considérer qu’il faut se battre ensemble pour construire un amour sincère et épanoui […] En France, nous n’en sommes pas là, nous sommes dépassés… » Galanterie, princes et princesses, prenez le balai !
Karine Le Marchand séparée du père de sa fille : ces sacrifices amoureux qu’elle ne fait plus
L’amour demande donc du travail, comme l’explique Karine Le Marchand : « Aujourd’hui, n’importe qui peut avoir des connaissances de base en mathématiques ou en psychologie grâce à Internet. D’un autre côté, l’amour ne s’apprend nulle part. Pour moi, c’est même quelque chose qui devrait s’enseigner à l’école Écouter, donner du temps, améliorer son quotidien… Si on ne met pas tout ça en place, ça ne marchera pas.« Mais elle l’admet : on a quand même le droit de prendre les choses à la légère. Tout dépend du partenaire et du degré d’engagement… La mère d’Alya explique : « On est bien plus enclin à faire des efforts avec le père de nos enfants qu’avec un gars avec qui on vit simplement. Moi, je ne suis pas avec le père de mes enfants, c’est évident que je ne suis pas prêt aux mêmes sacrifices.» Avis aux prétendants, le message est clair !
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