Une réaction pour le moins… pas très chaleureuse. Jeudi 14 novembre, le prince William a visité l’université d’Ulster à Belfast. D’habitude plutôt (très) populaire, je m’attendais peut-être à plus de sérénité. Cela ne s’est pas produit. Il a même reçu des huées et des protestations lorsqu’il est retourné à sa voiture. Les chahuteurs ? Des militants pro-palestiniens scandant le slogan « laissez Gaza vivre ».
A travers des cris, le groupe d’une trentaine de personnes a également réclamé plus d’action de la part du futur roi. En février dernier, dans un communiqué, William dénonçait le « coût humain » du conflit au Moyen-Orient. « Comme tant d’autres, je souhaite voir la fin des combats le plus rapidement possible »il a également écrit. Face à cette manifestation de colère, il n’a pas réagi. Il a seulement fait semblant de ne pas entendre ce qui se passait et a continué à sourire et à lui serrer la main comme si de rien n’était.
Selon un expert, William avait le « modèle de réaction idéal »
Experte en langage corporel pour le journal britannique The Mirror, Judi James a décrypté ce geste. Elle a expliqué que la réaction de William face aux huées découlait avant tout d’un comportement très codifié. Quoi qu’il en soit, lui et son père Charles doivent toujours rester neutres. Ainsi, selon elle, l’héritier du trône a choisi le modèle de réaction « idéal ».
Elle a expliqué pourquoi : «William est le modèle royal parfait pour répondre aux chahuteurs. Son père Charles a toujours eu recours à des performances extrêmes d’inconscience, qu’il soit visé par des coups de feu, des œufs ou des cris de la foule. C’est une bonne technique de transmission et William semble essayer de la copier, même si certains langages corporels suggèrent qu’il se sent plutôt vulnérable ou mal à l’aise. »
Un langage corporel « modeste et plutôt effacé »
Judi James a également décrypté les agissements du mari de Kate Middleton. Des gestes qui, malgré ce qu’il aurait sans doute aimé laisser paraître, dénotaient un certain malaise.
« Alors qu’il se dirige vers sa voiture, il fait trois gestes d’auto-touche, touchant et tirant sur sa cravate. »
A part ça, son langage corporel restait plutôt correct.
« À part cela, il garde un langage corporel modeste et plutôt effacé, faisant de petits signes de la main et un sourire timide. » Une bonne manière de contenir la colère, et de ne pas mettre de l’huile sur le feu.
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