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l’émotion de Joe Biden inaugurant une plaque commémorative en l’honneur de son fils Beau

Une journée pleine d’émotions. Après avoir prononcé son dernier discours en tant que commandant en chef de l’armée américaine aux côtés de Kamala Harris, Joe Biden s’est envolé pour le Delaware pour rendre hommage à son fils. Aux Etats-Unis, le 11 novembre est considéré comme la Journée des anciens combattants et la ville de Claymont, située à deux pas du fief du président, en a profité pour saluer la mémoire de Beau Biden, qui a servi dans la Garde nationale de l’armée du Delaware et a été déployé en Irak en 2008 pendant environ un an.

Une plaque portant le nom de Beau Biden a été apposée près du monument des « Gardiens des défenseurs » installé à l’occasion du 20e anniversaire des attentats terroristes du 11 septembre et le général de division Francis Valala a rappelé que le fils du président était un « soldat américain véritablement patriote ». L’homme a ensuite fait l’éloge de Joe Biden, le présentant comme « quelqu’un qui a grandi ici à Claymont et qui a emporté avec lui sur la scène internationale les valeurs profondément ancrées de sa petite ville ». Le père d’un soldat, un leader qui a fait plus pour nos militaires que quiconque depuis des décennies. »

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Joe Biden a assuré que Beau avait été « vraiment fier de rejoindre l’armée » et qu’il lui avait assuré qu’il avait un « devoir » de servir. “C’est le code que mon fils respectait, le devoir”, a souligné le président. Avant de conclure : « Mes amis, Beau serait très honoré, très honoré par sa plaque, même s’il dirait aussi « papa, ce n’est pas moi ». »

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Joe Biden très émotif

Le président américain a été très ému lors de cette cérémonie à laquelle il est venu accompagné de sa sœur, Valerie Biden Owens, ainsi que de la veuve de Beau, Hallie Olivere Biden (qui est aussi l’ex-compagne de Hunter Biden). Ensemble, ils se sont ensuite rendus sur la tombe de l’ancien avocat, décédé d’un cancer du cerveau en 2015 à l’âge de 46 ans. Au moment de son décès, le démocrate assurait : « Mon fils était meilleur que moi. Il était meilleur que moi dans presque tout… Je ne l’ai jamais entendu se plaindre. »

 
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