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Les expressions du visage de Benoît Poelvoorde lors du photocall à Liège après avoir été embrassé par un fan qui lui demandait un baiser (vidéo)

À la demande d’un de ses fans qui lui demandait à plusieurs reprises un baiser, l’acteur a obtempéré. Avant de faire le show lors du photocall. Le clown, pour Benoît Poelvoorde, est une seconde nature. Les fans et les photographes se sont éclatés. Notamment lorsqu’il a posé avec Gad Elmaleh venu inaugurer la dalle à son nom sur les pavés liégeois.

Alors que le présentateur du photocall n’a pas dit un mot alors que résonnait la musique de Claude François, Benoît Poelvoorde s’est emparé du micro. “Nous venons de tourner un film ensemble et nous ferons une première ici à Liège”, a plaisanté Gad Elmaleh, avant que Benoît Poelvoorde ne lui dise discrètement avant de quitter le tapis rouge : “Ne vous inquiétez pas, ils vont vérifier. “

“Je veux arrêter le cinéma parce que je deviens trop vieux”

Dans L’art d’être heureuxprésenté samedi soir en avant-première nationale, en présence du réalisateur belge Stefan Liberski – originaire de Snuls –, l’acteur incarne un peintre qui rêve de gloire avec également au casting François Damiens, Laurence Bibot et Camille Cottin. Un artiste qui passe sa vie à ruminer des idées toutes faites.

Dans une interview accordée à nos confrères de La Dernière Heure/SportsBenoît Poelvoorde est revenu sur les raisons qui l’ont poussé à vouloir arrêter le cinéma. “Je veux arrêter de jouer parce que je deviens trop vieux”, a-t-il expliqué. « Alors cela me semble logique, il faut le remettre. Place à la jeunesse. Mais il y a quand même un climat depuis plusieurs années quand on tourne. C’est l’ambiance sur les plateaux. Il faut mesurer ses paroles, mesurer ses gestes, etc. Moi, par exemple, je suis une personne assez tactile, donc je fais attention à ne pas toucher les gens dans la même pièce ni à laisser la porte ouverte. vient des États-Unis, pas d’ici. Nous avons une culture européenne, nous sommes presque méditerranéens, nous ressentons un truc sociétal mais je pense que ça vient de partout et alors, qu’est-ce qu’on fait ? temps de garde. Je connais un gars qui ne veut plus prendre l’ascenseur avec une femme. C’est terrible. Cela signifie que votre cerveau est toujours conditionné pour agir ainsi, mais que vous ne pouvez rien y faire. Contrairement à mon personnage qui lui prendrait tous les combats, mains en l’air. Ce type est un cliché.

 
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