L’acteur Lucas Bravo, connu dans Emilie à Parisincarne
la célébrité Bruno Sulak dans le film Libre
de Mélanie Laurent. Ce dernier vient de sortir le Amazone
Prime ce vendredi 1er novembre 2024. Mais
Bruno Sulak est-il toujours en vie donner votre avis sur le film ?
Pour rappel, Bruno Sulak est un célèbre
voleurs les temps modernes. Dans les années 1980, il a commencé à s’engager volsà Paris et Cannes.
Bruno Sulak : en vie ?
Le célèbre voleur est connu pour ses vols
atypiquec’est à dire sans
violence. Rapidement, il attire l’attention et curiosité du public et des médias. Pour commettre les braquages, Bruno Sulak a utilisé
déguisements et stratégies
atypique, ce qui fait sa renommée.
Généreux, Bruno Sulak a même offert une partie du vol pour
sans-abri. Après plusieurs arrestations et
s’échappeBruno Sulak met fin à sa carrière en 1985. Il décède d’une chute mortelle lors de sa dernière tentative d’évasion de prison. Mais pendant sept ans le voleur est revenu fou tous les policiers en France. Son corps reposait dans la section pénitentiaire du cimetière parisien de Thiais, avant que sa dépouille ne soit exhumée puis transférée au crématorium du cimetière du Père-Lachaise pour y être incinérée. Les cendres ont été restituées à la famille.
Qui est Bruno Sulak ?
De nombreux documentaires et livres ont déjà couvert l’histoire de Bruno Sulak. «C’est quelqu’un de très
mystérieuxde plusieurs manières. Tout d’abord, c’était quelqu’un d’assez timidequelque chose que nous ne disons pas très souvent. C’est-à-dire quelqu’un qui n’était pas un grand nom. Pas forcément sûr de lui. OMS bégayé un peu et qui a pourtant fait des choses absolument extraordinaires, des braquages d’une audace extraordinaire, et qui pourtant était quelqu’un
gentil, doux.“ explique Philippe Jaenada, journaliste et auteur de Aqueux
Dans L’heure du crime.
Et cette dernière a aussi marqué les policiers de l’époque. « J’ai eu l’impression, à un moment donné, puisqu’il appelé plusieurs fois
(…) queil voulait changer de vie. Je ne veux pas dire qu’il cherchait conseilmais un petit peu, quelque part, parce que dans son environnement, il ne pouvait pas en avoir (…) il lui fallait un avis neutre.» » déclare Georges Moréas, ancien chef de l’OCRB (Office central de lutte contre la délinquance organisée) à propos de
RTL.
France
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