Gérard Jugnot en larmes lors d’un hommage au Festival Cinéroman

Deux jours après la disparition soudaine de Michel Blanc, son ami de toujours Gérard Jugnot n’a pu contenir son émotion lors d’un hommage rendu à l’acteur au festival Cinéroman de Nice.

Une perte déchirante pour le cinéma français

C’est dans la nuit du jeudi 3 au vendredi 4 octobre que Michel Blanc est décédé à l’âge de 72 ans, victime d’un choc anaphylactique lors d’un examen médical de routine. La nouvelle a provoqué une onde de choc dans le monde du cinéma, touchant particulièrement ses compagnons de toujours du Splendid. Gérard Jugnot, bouleversé, a immédiatement réagi sur Instagram : « Putain Michel… Qu’est-ce que tu nous as fait… »

Un hommage improvisé au festival Cinéroman

Malgré sa douleur, Gérard Jugnot a tenu à honorer ses engagements en se rendant à la cérémonie de clôture du festival Cinéroman à Nice, samedi 5 octobre. Les organisateurs de l’événement en ont profité pour rendre un hommage inédit à Michel Blanc, en modifiant le programme de la soirée. pour diffuser une rétrospective de la carrière du défunt acteur.

Gérard Jugnot submergé par l’émotion

Face aux images retraçant le parcours exceptionnel de son ami, Gérard Jugnot n’a pu contenir son émotion. Comme le rapporte Paris Match, l’acteur est apparu “son visage marqué, ses yeux humides et sa tête dans les mains, visiblement bouleversé par la mort subite de son ami de 72 ans« . Les photographes présents ont capturé ces moments poignants. On y voit Gérard Jugnot enfoncé dans son fauteuil, les yeux rouges de larmes.

A la fin de la projection, à l’invitation du président du festival, Gérard Jugnot s’est brièvement levé, comme pour rendre un dernier hommage à son ami, avant de se rasseoir rapidement.

Le silence du Splendide

Si Gérard Jugnot a choisi d’honorer la mémoire de son ami en participant à cet hommage public, les autres membres du Splendid ont préféré garder le silence. Dans un communiqué commun, Josiane Balasko, Marie-Anne Chazel, Christian Clavier, Thierry Lhermitte et Bruno Moynot ont exprimé leur « une douleur immense » et a demandé au public et à la presse « respecter [leur] silence et méditation.