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Elisabeth Quin face à la cécité, sa fille s’inquiète : « Elle me demande régulièrement… »

Atteinte d’un glaucome sévère qui pourrait la rendre complètement aveugle, Elisabeth Quin a parlé de l’évolution de sa maladie et de la façon dont sa fille vit la situation.

C’est dans les colonnes du magazine Gala La journaliste Elisabeth Quin est revenue sur son combat quotidien : celui contre la cécité. Elle a également souligné l’inquiétude de sa fille unique, Oona.

Elisabeth Quin : sa fille, Oona, inquiète de la progression de sa maladie

En 2019, celui qui présente le magazine 28 minutes, Sur Arte, elle avait annoncé souffrir d’un glaucome oculaire – une dégénérescence du nerf optique qui touche un million de personnes par an en France – qui pourrait la rendre aveugle. Depuis, la journaliste de 61 ans ne cesse de se battre, et de mettre en avant son combat pour faire avancer la recherche.

Dans Galaelle a admis que sa fille Oona (22 ans, adoptée au Cambodge et actuellement enceinte de son premier enfant) n’a pas toujours bien géré la situation mais a appris à prendre du recul. « Cela l’inquiétait, elle me demandait régulièrement comment je vais. En riant, elle me dit : « Je serai ta canne blanche » »dit Elisabeth Quin, non sans humour. Il faut dire qu’entre mère et fille, si «il y a eu des hauts et des bas« dans leur histoire, ils sont complices »le plus souvent« avec un »chose de fusion dont nous nous méfions“, ajoute le présentateur d’Arte.

Elisabeth Quin veut rester optimiste : « Je me dis qu’il y a pire »

Faisant le point sur son état de santé, Elisabeth Quin précise ; « C’est une maladie silencieuse et héréditaire qui ne peut être détectée sans une prise de pression intraoculaire par un ophtalmologue tous les ans ou tous les deux ans.« Je mets des gouttes pour les yeux deux fois par jour, je fais des examens tous les trois mois, notamment pour évaluer mon champ visuel. C’est insupportable, car on voit ce qu’on ne voit plus. Sans compter les examens du nerf optique, les prises de tension… »

Dans tous les cas, le principal concerné se veut optimiste et refuse de se plaindre ou de râler. « Après avoir vu les gars du cécifoot et des salles entières communier en silence face à cette volonté humaine… Je me dis qu’il y a pire. Et puis nous vivons dans un pays où, même si tout n’est pas parfait, il y a quand même du soutien.

 
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