Un témoignage émouvant. Ce mercredi 8 janvier 2025, Anna Roy, chroniqueuse dans La maison de la maternellea dévoilé son livre Énorme édité par Larousse.
Dans cette histoire intime, elle revient sur son addiction au sucre et ses 130 kg. Elle partage avec courage son parcours difficile et les défis qu’elle a dû surmonter pour retrouver santé et équilibre.
En pleine promotion de ce projet, elle a récemment accordé une interview à nos confrères de parisienl’occasion pour elle d’en dire plus sur son combat. “je suis mort vivant», a-t-elle confié. Des mots forts qui illustrent la profondeur de sa souffrance et la détermination qui la pousse à se battre pour une vie meilleure.
Un combat difficile pour Anna Roy
Ce combat n’a pas été de tout repos pour la jeune femme qui avait visiblement très difficile de se passer de sucre. “La cigarette, en revanche, est une promenade dans le parc“, écrit-elle dans son ouvrage.
Dans ÉnormeAnna Roy livre un récit poignant de sa souffrance. Elle évoque notamment ce corps qui prend «trop d’espace“, un corps qui l’empêche de croiser les jambes, de nouer ses lacets, de danser, ou encore de toucher les autres, notamment ses enfants. Un jour, l’une d’elles lui a dit que ses seins étaient «aussi moelleux qu’une purée de pommes de terre« .
Elle raconte enfin sa haine envers cela »échelle qui se reflète en clignotant», comme si elle-même n’arrivait pas à y croire.
Agathe Lecaron à la rescousse
“Ceux qui craignent l’épreuve du maillot de bain ne savent pas quelle chance ils ont. Les gros craignent l’épreuve de l’été», indique la sage-femme qui rapporte que l’intervention de l’animatrice Agathe Lecaron a été salvatrice.
“Sur les conseils de son amie Agathe Lecaron, la présentatrice de la Maison des Maternelles, elle a arrêté le sucre, et ça lui “a sauvé la vie”», rapporte le quotidien.
Avec 60 kilos en moins, Anna Roy doit maintenant s’habituer à sa nouvelle identité, un processus qui va bien au-delà de la simple transformation physique. Ce changement radical, qu’elle a entrepris avec courage et détermination, l’a obligée à redéfinir son rapport à son corps, mais aussi à sa santé.