Guy Savoy et son « petit ermitage de 65m2 à 1700m d’altitude sans électricité », la « meilleure cabane du monde »

Guy Savoy et son « petit ermitage de 65m2 à 1700m d’altitude sans électricité », la « meilleure cabane du monde »
Guy Savoy et son « petit ermitage de 65m2 à 1700m d’altitude sans électricité », la « meilleure cabane du monde »

Il existe de nombreux chefs renommés en ! Parmi eux : Guy Savoy. Pour rappel, l’ex de Sonia Mabrouk possède deux étoiles au Guide Michelin depuis 1985 (il en a eu une troisième jusqu’en 2022). Très récemment, nos confrères de Dimanche à la Tribune est allé à sa rencontre, dans son restaurant de la Monnaie de Paris. Une interview à retrouver dans leur édition du dimanche 22 décembre 2024. L’occasion d’en apprendre beaucoup sur celui qui est devenu le premier chef d’orchestre élu à l’Académie des Beaux- en novembre dernier.

Notamment sur ses habitudes, lorsqu’il n’est pas en cuisine à Paris : «Je m’évade deux week-ends par mois à la montagne. J’y retrouve mon renard, Anatole, les sapins enneigés, ou les vaches dans les pâturages. Là-bas, c’est la glande totale. Je marche, fais du vélo, prépare à manger avec mes amis. Je peux aussi me réfugier pas très loin dans mon petit ermitage de 65 mètres carrés à 1700 mètres d’altitude, sans électricité.avec cheminée, poêle à bois et poêle en pierre dans la chambre. Dans cette meilleure cabane du monde, je me sens toujours rassuré

Guy Savoy « en totale autonomie » dans sa cabane dans les Alpes

Rappelons qu’il avait déjà évoqué sa cabane dans les Alpes l’année dernière dans les pages de parisien : “J’y vis de manière quasi indépendante avec des panneaux solaires pour l’éclairage et un poêle à bois pour l’eau chaude et la cuisine. Je peux à peu près tout faire avec cette cuisinière : mijoter, griller, et même cuire une tarte. Le week-end dernier, j’ai préparé un ragoût d’agneau avec des morceaux de col et de flanc que j’ai bien rôtis à la cocotte, avec de gros oignons. Je l’ai accompagné de pommes de terre et de gousses d’ail non pelées. Je l’ai servi avec un peu de jus de veau, c’était parfait.

Pour revenir sur son entretien avec Dimanche à la Tribuneil explique donc au magazine se sentir « rassuré » dans sa cabine. Un mot qu’il utilise régulièrement pour une raison bien précise : «J’en ai besoin. Vous savez, j’ai bégayé pendant très longtemps. On s’est beaucoup moqué de moi. Quand tu as des professeurs à la fin de ta deuxième année qui te prennent pour un idiot parce que tu dis que tu veux devenir cuisinier, c’est très violent.

 
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