Miss France 2025, la 95ème élection de Miss France, c’est ce 14 décembre 2024, sur TF1. Et la tenante du titre, Eve Gilles, sera au Futuroscope de Poitiers, ce samedi dans la Vienne, pour remettre la couronne au vainqueur.
A quelques heures de la grande finale, la brune aux cheveux courts vient de se confier sur ses obligations de Miss. Eve Gilles a en effet expliqué qu’il y avait deux matières interdites dans l’année où une jeune femme s’engage dans cette voie.
Pas de politique ni de religion
À nos confrères de Brut, elle a expliqué : «La politique et la religion sont les deux sujets sur lesquels on ne s’exprime jamais, car déjà, nous avons beaucoup d’enfants qui nous suivent”. “Et je pense que cela les influencerait » dit-elle aussi.
Pour la jeune femme de 21 ans, force est de constater que ces petits «Ils doivent se forger leur propre opinion. sans être influencé par une personnalité publique comme Miss France. Il y a aussi un risque, surtout à l’heure actuelle, que les commentaires de la reine de beauté soient “décuplé, amplifié et déformé« . Et Eve Gilles veut à tout prix éviter cela.
Pour résumer, le natif du Nord »préfère que l’enfant se fasse sa propre opinion sur ce qui se passe en ce moment ». Avec les autres Miss, “Ce n’est pas notre rôle. équilibre Ève Gilles. Et pour cause, dit-elle.En fait, je ne connais pas grand chose en politique. Et la religion, n’en parlons pas« .
Eve Gilles l’avoue également : « Je ne connais pas toutes les religions, je ne sais pas comment elles fonctionnent et pareil au niveau politique. Et donc je trouve que Ce n’est pas mon rôle d’en parler.
Eve Gilles ne veut pas influencer
Elle, qui termine une licence en mathématiques et en informatique dans le but de devenir statisticienne, fait un rappel important. Ève Gilles confie humblement : “Je n’ai pas étudié là-dedans, Ce n’est pas mon travail. Et ce serait trop simple de donner un avis, mais c’est un avis complètement subjectif.»
Finalement, celle qui ne sera plus Miss demain estime : «Donc pour moi, c’est pour ça qu’il est important de ne pas le donner, au moins pour l’année Miss France et pour les années suivantes. Eh bien, je veux dire, peu importe pour qui je vote, qui s’en soucie vraiment ?»