Donald Trump et le protocole royal, une entente peu cordiale. LE Courrier quotidien a révélé que la reine Élisabeth II n’a pas du tout apprécié un commentaire déplacé de l’ancien président des États-Unis à l’égard de sa sœur, la princesse Marguerite décédée en 2002, lors de sa visite au Royaume-Uni en 2018.
Si de nombreuses sources affirment que l’ancien monarque n’aimait pas beaucoup Donald Trump, cette nouvelle révélation renforce une fois de plus ces allégations. Une personne indiscrète, très bien informée des événements de 2018, a confié à l’expert royal Richard Éden : « Trump a mis les pieds dans le plat en disant que Margaret devait être une sœur difficile. La Reine fut très agacée par cette remarque qu’elle jugeait ignorante et blessante. Elle a toujours défendu Margaret jusqu’au bout. » Il faut dire que critiquer les défunts n’est pas très bien vu… Critiquer les membres de la famille royale l’est encore moins. Elizabeth II était proche de sa sœur unique, même si les deux femmes étaient souvent opposées dans leur manière d’être. La princesse Margaret avait été décrite par certains biographes comme « anti-reine », en raison de son tabagisme et de ses scandales répétés.
La reine Camilla réapparaît en majesté avec un diadème ayant appartenu à Elizabeth II
La reine Camilla est réapparue en majesté lors du gala du corps diplomatique donné au palais de Buckingham. Pour l’occasion, elle portait pour la première fois un précieux diadème ayant appartenu à Elizabeth II.
Tout va bien, ça finit bien
Dans sa biographie sur Elizabeth II, Craig Brun a affirmé que quelques semaines après la visite du chef de l’Etat américain, la reine aurait confié à l’un de ses invités lors d’un déjeuner qu’elle avait trouvé Donald Trump “très grossier”, détestant notamment la façon dont il ne pouvait s’en empêcher. “regardant par-dessus son épaule, comme s’il cherchait d’autres personnes plus intéressantes.” Robert Hardmanun spécialiste de la Couronne, s’est toutefois montré surpris par ces propos. Si Donald Trump a effectivement commis quelques erreurs de protocole lors de sa visite officielle, aucune n’a été particulièrement préjudiciable. L’expert a assuré que si la rencontre entre Elizabeth II et le président ne s’était pas bien déroulée, leur séance privée dans l’Oak Room n’aurait pas duré vingt minutes. Les conseillers ont déclaré plus tard que les deux hommes étaient même devenus amis à cause de quelque chose qu’ils avaient en commun : leurs racines écossaises. De quoi repartir sur de bonnes bases.