Rare sur la scène médiatique, Raphaël Glucksmann était dans les studios de RTL ce lundi 4 novembre et il n’a pas dû regretter son déplacement ! Dès le départ, le député européen de Place Publique a été bousculé par le co-présentateur du matin. En effet, Thomas Sotto a souligné la discrétion de son invité.
“Dis, tu es un vrai champion au jeu du roi du silence, n’est-ce pas ?”» a demandé le journaliste. « Où étais-tu toutes ces dernières semaines, tous ces derniers mois ?il a ajouté. «Je travaille au Parlement européen»a répondu Raphaël Glucksmann, estimant qu’il n’était pas
« un employé des médias libres » et ne passez pas votre temps à la radio et à la télévision. Le ton était donné !
Thomas Sotto dares an embarrassing question to Raphaël Glucksmann
Lors de cet entretien, Thomas Sotto n’a pas hésité à poser une question indiscrète à Raphaël Glucksmann. Le journaliste lui a demandé s’il avait “J’ai déjà fumé un petit pétard”. Une question qui a d’abord laissé son invité sans voix. “Non, mais ma question est sérieuse. Avez-vous déjà fumé un petit pétard ?“insisted the former presenter of Télématin.
Le chef du parti Place publique a répondu avec un petit rire gêné : “Oui, quand j’étais jeune, comme des millions de Français…“il a continué. Thomas Sotto l’entraîne alors dans la lutte contre le trafic de drogue, qui a fait plusieurs victimes ces dernières semaines.
Raphaël Glucksmann profite de la lutte contre le trafic de drogue
Dans les studios de RTL, Raphaël Glucksmann a estimé qu’il était inutile d’envoyer « la police traque les co-fumeurs »comme le recommande le Rassemblement national.
« Cela va surcharger les forces de police et, au final, nous ne les obligerons pas à se concentrer sur les criminels, les gangs, les mafias »a poursuivi l’eurodéputé.
Le chef du parti Place publique s’est également dit opposé à la proposition du député RN Jean-Philippe Tanguy d’appliquer de courtes peines de prison aux usagers de drogues. « Il y a bien sûr un énorme problème de consommation. Mais quand on a une loi qui n’est pas respectée par cinq millions de Français, il faut faire en sorte que la police soit concentrée sur le vrai problème. »» argumenta-t-il. “Le vrai problème c’est ces trafiquants de drogue, ce sont ces mafias […] Le cœur du système n’est pas le consommateur.la conclusion
le compagnon de Léa Salamé.