des proches ont prévu le pire

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Pour LE P.Week-end arisien En janvier dernier, Claire Chazal écrivait un texte sur le clan Tesson, dont le patron était autrefois le père (Philippe) lorsqu’elle travaillait chez Parisien quotidiennement.

Dans ce texte, elle parle de Sylvain Tesson, l’écrivain – Dans les forêts de Sibérie, Sur les chemins noirs – aventurier et géographe qui «préférait déjà la forêt de Chatou aux bancs d’école« . Très tôt, celui qui a fêté ses 52 ans le 26 avril dernier avait décidé de voyager à travers le monde malgré les craintes de son père, récemment décédé, et de sa mère Marie-Claude, médecin qui a cofondé et dirigé le Le quotidien du médecin.

Ses parents avaient en effet parfois des sueurs froides, le père ne l’avait pas caché à Laurent Ruquier il y a quelques années sur le tournage de l’émission. Nous ne sommes pas au lit. Et ils n’ont pas hésité une seule fois à prendre l’avion, sentant que le pire pouvait arriver. C’était l’un des premiers voyages de leur fils, il était encore jeune et avait choisi de traverser un pays turbulent, l’Iran. Claire Chazal raconte Le week-end parisien : “Sylvain avait donné quelques sueurs froides à ses parents, comme ce jour où, poussés par une secrète inquiétude, ils s’envolèrent pour l’Iran, pressentant le pire, retrouvant enfin deux vélos appuyés contre un arbre au milieu de nulle part, et Sylvain et son compagnon de voyage , accablé de fièvre, couché dans un grenier, foudroyé par l’hépatite

Sylvain Tesson : un accident qui n’a rien enlevé à son amour de l’aventure

Le goût du risque a toujours coulé dans les veines de Sylvain Tesson, lui qui a escaladé les cathédrales à mains nues et les façades des immeubles. C’est ainsi que sa vie a changé. Celui que l’on surnomme le Prince des chats est tombé du toit du chalet de son ami Jean-Christophe Rufin en août 2014. Sortant du coma, il découvre son corps abîmé, son visage marqué à vie. A l’époque, il déclarait L’Express : “L’impulsion suicidaire qui m’animait, ce flirt avec la mort, ce mépris de tous les dangers, tout cela va me quitter. Il me semble que je vais me calmer.

Il n’a pas encore arrêté de grimper, mais cette fois il est harnaché. Il n’a pas non plus arrêté de voyager, n’hésitant pas à traverser des lacs gelés en moto ou en side-car, pour faire le trajet depuis L’Odyssée d’Homère et récemment, pour son travail Avec les fées, voyagez par voie d’eau le long des côtes atlantiques, de la Galice à l’Écosse en passant par la Bretagne, la Cornouaille en Grande-Bretagne ou l’Irlande. Même si Sylvain Tesson ne se met plus en danger, l’écrivain n’a pas perdu le goût de l’aventure.

 
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