Les fidèles deUn dimanche à la campagne ont dû être ravis ! Pour la deuxième semaine consécutive, l’émission-témoignage animée par Frédéric Lopez était diffusée sur France 2. Dans cette nouvelle exclusivité, les téléspectateurs ont eu la chance de découvrir la cheffe Nina Métayer, l’interprète Alain Chamfort et le comédien Samuel Le Bihan sous un angle différent. Ce dernier n’était pas avare de confidences.. Il est notamment revenu sur l’origine de sa cicatrice, mais aussi sur certaines de ses «mauvais« choix de carrière.
«Je suis ruiné» : Samuel Le Bihan se souvient de ses débuts difficiles avec François-Xavier Demaison
Quelques instants avant le départ de la joyeuse bande, Frédéric Lopez a souhaité revenir sur les débuts de la collaboration entre Samuel Le Bihan et François-Xavier Demaison.On a bien rigolé ! Heureusement qu’on a réussi à s’en sortir“, sourit l’interprète d’Alex Hugo. A cette époque, ce dernier travaillait encore dans la finance, mais envisageait une reconversion professionnelle en devenant comédien. Sur les conseils de son avocat, Samuel Le Bihan est allé voir le jeune François-Xavier Demaison.”Emportée par l’enthousiasme, je suis poussée dans sa loge. Emportée par l’élan, je lui dis “si tu veux, je produis pour toi”“, se rappellera-t-il plus tard. Sauf qu’il n’est pas producteur, et son jeune talent est encore moins celui d’un acteur.”Nous avons fait toutes les erreurs !“, poursuit-il. François-Xavier Demaison quitte son poste, avec des rêves d’Olympia.”On va s’écraser. Je suis ruinée.« , continue de décrire l’invité du jour. Après ces débuts difficiles, les choses décollent enfin deux ans plus tard. Elles sont à l’Olympia. »Nous savons ce que nous avons traversé. Nous l’avons traversé et nous l’avons surmonté..”
«J’ai fait de mauvais choix” : Samuel Le Bihan justifie le tournant de sa carrière en Un dimanche à la campagne
Dans ce contexte, Frédéric Lopez s’est donc interrogé sur les choix de carrière de son invité.C’est une période où je travaille moins, l’envie est un peu partie. J’ai fait de mauvais choix. J’ai peut-être un peu opté pour la facilité. Je voulais la popularité, je voulais le succès“, a-t-il concédé, ayant le recul nécessaire pour analyser la situation. Né dans les médias, l’homme de 58 ans n’a pas voulu retomber dans l’anonymat.”Comme il fallait faire des choses, et trouver de l’argent, je me suis improvisée productrice, dans des ONG, j’allais faire des reportages…“, a-t-il énuméré, précisant qu’il était alors guidé par la volonté de soigner sa réputation. C’est finalement France 3 qui lui a redonné goût à son métier principal.”C’est plutôt au théâtre que j’ai trouvé une place, jusqu’à « Alex Hugo », a-t-il conclu.