La basketteuse Emilie Gomis fait toujours polémique sur les réseaux sociaux

La basketteuse Emilie Gomis fait toujours polémique sur les réseaux sociaux
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La joueuse formée au Pôle Espoirs de Rouen, Emilie Gomis, est une nouvelle fois sous le feu des projecteurs après un message de soutien à l’Iran au lendemain de l’attaque contre Israël.

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Le drapeau iranien accompagné du texte « L’Iran a le droit de se défendre. » C’est le message laconique publié sur les réseaux sociaux de la championne de basket Emilie Gomis. Quelques heures plus tard, elle a précisé que l’action de la République islamique d’Iran était légitime, citant l’article 51 de la Charte des Nations Unies.

L’ancien espoir normand n’en est pas à son coup d’essai.

Fin novembre 2023, elle a dû s’excuser après avoir pris position après l’attaque du Hamas contre Israël. A l’époque, elle republiait le 9 octobre, en story sur Instagram, une publication qui représentait une carte de France recouverte de drapeaux israéliens à différentes dates et qui posait la question suivante : « Que feriez-vous dans cette situation? « .

Accusé deantisémitisme, le quadragénaire a dû préciser que “Les accusations d’antisémitisme auxquelles je fais face sont en totale contradiction avec les valeurs qui m’ont été inculquées et celles que le sport m’a appris ».

Mais ses excuses n’ont pas suffi. Le CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France) et le Comité d’éthique avaient demandé son exclusion des Jeux olympiques de Paris-2024. Une demande motivée par le fait que la charte éthique de Paris-2024 mentionne que ses adhérents et salariés doivent, entre autres, « respecter le devoir de réserve dans leur expression publique ».

L’ancien joueur a dû démissionner de son poste d’ambassadrice olympique et quitter également celui qu’elle avait au conseil d’administration des Jeux de Paris.

A Rouen, un terrain de sport porte le nom du champion entraîné en Seine-Maritime. La conseillère municipale centriste Marine Caron demande au maire de Rouen de débattre de la structure sportive après ces deux dérapages. La question sera peut-être posée ce soir lors du conseil métropolitain.

 
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