La grande Margaux fait son retour aux Maîtres de N’oubliez pas les paroles. Le numéro 1 qui n’a jamais remporté cette compétition est-il sous pression après une victoire au dernier Tournoi des Maestros ? Elle nous dit tout !
Nous avions échangé contre le Tournoi des Maestros il y a quelques mois. Vous êtes désormais sur le point d’accéder au Masters. Prêt?
C’est vrai que cette année, j’ai travaillé un peu moins que les autres années parce que j’avais un peu moins de temps. Du coup, je pense que j’y vais un peu plus sereinement que les années précédentes. Cela m’aidera à être un peu plus performant avec moins de stress (rires).
Comment vous êtes-vous organisé dans vos révisions depuis le dernier concours ?
C’est vrai que je fais plutôt partie de l’équipe qui révise à la dernière minute (rires) donc je ne m’y suis vraiment mis que cet été. Après c’est vrai que toute l’année j’écoute beaucoup de chansons françaises mais un peu plus passivement et les choses que j’aime. On dira donc que les révisions véritablement « académiques » ont commencé pour moi deux mois avant le Master.
Comment s’est déroulée votre vie professionnelle depuis que vous avez fait du chant votre métier ?
Cet été avec mon partenaire musical on a eu l’occasion de faire plusieurs dates dans des bars, dans des campings et c’est vrai que j’ai encore du mal à me dire que c’est mon métier parce que c’est trop cool de faire un truc qu’on aime et ce n’est pas pour tout le monde malheureusement, alors Je suis vraiment heureux. Cela vient juste de commencer donc j’ai envie de faire encore plus de dates.
Le trophée Masters est le seul qui vous manque. Quel est votre état d’esprit pour cette nouvelle édition du jeu ?
---J’aime la compétition, je suis joueur donc j’espère évidemment gagner mais je ne me mets pas une pression horrible. Je me dis que tous mes échecs des années précédentes vont certainement m’aider cette année. Ce n’est jamais perdu !
Pas trop de pression quand on est le grand numéro 1 ?
Bien sûr que oui (rires) ! Inconsciemment, je me mets forcément un peu plus de pression car c’est vrai que ceux qui étaient numéro 1 avant moi, comme Kevin et Hervé, ont tous deux gagné le titre. Maîtrise. Pour le moment, je ne les ai pas encore gagnés mais c’est vrai que j’aimerais bien.
Quel est votre objectif principal dans cette compétition ?
Chaque année, le premier objectif que je me fixe est de passer le premier tour. C’est le match le plus stressant et une fois qu’on l’a traversé, on part en courant, mais c’est vraiment le match pour lequel je me mets le plus de pression.
Y a-t-il des candidats que vous préféreriez ne pas affronter ?
C’est un peu vague ce que je vais dire (rires), mais tout le monde est fort. Nous ne sommes pas là par hasard et il y a toujours des gens plus effrayants que d’autres. Je pense par exemple à Arsène, Hervé et même Renaud qui a remporté le Masters l’année dernière. Je pars du principe que de toute façon, ce n’est pas la personne contre qui je joue qui doit changer quoi que ce soit et que c’est à moi de trouver les mots (rires).