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Comment être aussi heureux au travail que les Scandinaves ?

Comment être aussi heureux au travail que les Scandinaves ?
Comment
      être
      aussi
      heureux
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      travail
      que
      les
      Scandinaves
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Pour le site Compagnie rapideDeux journalistes américains ont rencontré des dirigeants d’entreprises, d’universités et de gouvernements en Finlande et au Danemark pour comprendre leurs méthodes pour atteindre un plus grand bonheur, notamment au travail. La clé, ou plutôt les deux clés, seraient la transparence et un climat de confiance, deux qualités qui semblent cruellement manquer aux organisations américaines, ce qui a fait que les États-Unis sont tombés sous la barre des 20 pays les plus heureux du monde dans le World Happiness Report, publié par le Réseau des solutions pour le développement durable des Nations unies, pour la première fois depuis sa création en 2012.

Mais comment font les Scandinaves ? En Finlande, « La transparence commence aux plus hauts niveaux du gouvernement. Lorsqu’un président finlandais prête serment, il démissionne de son parti politique pour représenter l’ensemble du pays. ». A noter cependant : la Finlande a chuté dans le classement de la satisfaction des expatriés, selon le magazine. Fortunenotamment en raison de la difficulté de la langue et du coût de la vie.

Au Danemark, « La perception de la corruption dans le secteur public est la plus faible au monde »Les investissements dans les services publics et les politiques en faveur de l’emploi des jeunes en Finlande et de la préservation de la dignité des personnes âgées au Danemark favorisent la confiance et la prospérité dans toute la société.

Le site américain souligne que cette logique ne se limite pas au secteur public et prévaut également au sein des entreprises. Chez Lego, par exemple, les salariés bénéficient de nombreuses mesures en faveur de la santé et du bien-être et peuvent prendre « jusqu’à 30 semaines de congés payés en cas de maladie ».

La communication est également essentielle et ne se limite pas à un échange convenu de banalités, de peur de nuire à sa carrière. « Si vous demandez à un Finlandais comment se passe sa journée, soyez prêt à l’écouter. Pour les Danois, le bonheur réside dans l’ambiance, l’expérience et la capacité à ne pas être sur ses gardes. » Dans les deux pays, les entreprises encouragent cette pratique et ont mis en place des dispositifs pour garantir que cette ouverture soit compatible avec la sécurité psychologique.

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