Publié le 21 janvier 2025 à 05h31. / Modifié le 21 janvier 2025 à 05h37.
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“Le discours inaugural est généralement l’occasion de rassembler le peuple américain, ne serait-ce que pour une journée, et de transmettre une vision optimiste de l’avenir de l’Amérique”, écrit le journal. NZZ dans une analyse convoquant les paroles enflammées de Kennedy en 1961 et celles, pleines de confiance, de Roosevelt en 1933. Il était 5h30 du matin en Suisse, en pleine nuit à Washington et jusque-là, il était raisonnable de croire que Donald Trump se plierait, au moins un peu, aux conventions – ses conseillers avaient promis un discours sur « l’unité » de la nation, après ses commentaires de 2017 sur le « carnage américain ».
Mais qui y croyait vraiment ? Quelques heures plus tard, dans la rotonde du Capitole à Washington, le 47e président des Etats-Unis a rejoué « ses plus grands succès » pendant 29 minutes, analyse le Journal de Wall Street. Peut-être de manière plus polie, sans trop s’éloigner de ce que lui disait le téléprompteur, mais sans trahir non plus les thèmes qui lui tiennent à cœur. «Pendant une grande partie de son discours, il n’a pas semé l’inspiration. Il a servi des avertissements et réglé des comptes”, réagit le chroniqueur de New York Times Franck Bruni.
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