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Notre cadeau de Noël pour chacune des 32 équipes de la LNH

Le temps des fêtes est synonyme de célébrations et de nombreux gestes d’amour et d’amitié, comme offrir des cadeaux à ceux qu’on aime. Ce Noël, nous avons le cœur sur la main et nous souhaitons exprimer nos vœux de bonheur aux équipes de la Ligue nationale de hockey (LNH).

Sur un ton légèrement humoristique et léger, voici les cadeaux que nous leur offrons en toute sincérité. Joyeux Noël à tous !

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« Soyez dans le mix » jusqu’à la fin de l’horaire régulier. C’est ce qu’espèrent Geoff Molson, Kent Hughes, Jeff Gorton et Martin St-Louis depuis le tournoi de golf du CH, n’est-ce pas ? Les partisans paient déjà (trop) cher leurs billets au Centre Bell.

Évitez d’affronter les Bruins de Boston au premier tour des séries éliminatoires 2025.

Affrontez les Maple Leafs de Toronto au premier tour des séries éliminatoires de 2025.

Atteignez le premier tour des séries éliminatoires de 2025. Et jouez devant des tribunes pleines au Centre Canadian Tire. Et comptez sur Linus Ullmark en pleine forme. Et construire un nouvel aréna sur les plaines LeBreton. Est-ce trop demander, cher Père Noël ?

Un nouvel entraîneur. Désolé, Derek Lalonde, mais ce ne sont pas du tout vos affaires.

De nombreux téléviseurs à la pointe de la technologie. Leurs joueurs en auront besoin pour regarder la série en avril.

Remettre Matthew Tkachuk et les Panthers à leur place lors des séries éliminatoires.

Régler le cas de Nikita Kucherov et du Lightning en séries éliminatoires.

Pas de colère excessive de la part de Patrick Roy. Il faut préserver la santé du directeur général Lou Lamoriello, 82 ans.

Un grand ménage de printemps, car ça sent vraiment mauvais partout. Pauvre Alexis Lafrenière. Joyeux Noël en tout cas !

Laissez Jake Allen et Johnathan Kovacevic obtenir ce qu’ils n’ont pas eu à Montréal : des victoires.

Plus de points de Sidney Crosby. Mais oubliez la Coupe Stanley. Le bon vieux temps appartient au passé.

Qu’Alexander Ovechkin surpasse Wayne Gretzky en tant que meilleur buteur de tous les temps d’ici la fin de 2025.

Un peu d’amour fraternel de John Tortorella envers Matvei Michkov, les autres joueurs de l’équipe, les arbitres, les journalistes, les entraîneurs, les responsables des concessions alimentaires de l’arène, le chauffeur du zamboni. Mais quel grincheux il est !

Pour garder Mathieu Olivier sous leur égide. A l’arène, il fait beaucoup de bruit. Mais pas autant que le canon qui retentit après chaque but des Jackets.

Laissez Brent Burns peindre sa barbe proéminente en blanc et jouer au Père Noël pour rendre Jesperi Kotkaniemi plus mature.

Une tournée d’adieu chaleureuse et touchante pour Marc-André Fleury qui met fin à une brillante carrière.

Des jeux spectaculaires à la hauteur de Connor Bedard.

Joyeux Noël à tous, sauf Jordan Binnington qui risque d’être le gardien partant du Canada lors de la confrontation des 4 Nations malgré un taux d’efficacité inférieur à .900. Eh bien, quoi ? On a aussi le droit de jouer à Grumpy !

Que Nathan MacKinnon continue de suivre les traces de Crosby, son prédécesseur de la Nouvelle-Écosse.

Réalisez ce que l’équipe de football professionnelle locale ne peut pas faire : gagner quand le moment est venu. Nous saluons les supporters des Cowboys au passage. Bon hiver sans playoffs pour eux !

Plus de spectateurs au Centre Canada Vie. Il est incompréhensible de voir une équipe de premier plan se débattre aux guichets. Car au Québec, les nostalgiques du hockey sont jaloux, très jaloux. N’est-ce pas, Jean-Charles Lajoie? Pour rappel, voici quelques lectures de vacances.

Un autre entraîneur que le somnifère Andrew Brunette, qui sera surtout reconnu pour être l’auteur du dernier but accordé par Patrick Roy dans la LNH.

Une identité qui ne ressemblera pas à celle d’un club de football européen de quatrième division. Nous votons pour les Yétis.

Continuité. Et « réussite dans vos études ».

Un trophée Calder pour Macklin Celebrini ? Le Père Noël y réfléchira.

Enfin le premier choix au repêchage amateur ? Oui, dit le Père Noël, mais à condition que nous soyons aussi dociles que de sympathiques canards sur la glace.

Que Shane Wright ne devienne pas un futur Jesperi Kotkaniemi.

Des tranches de pizza pour Phillip Danault en séries éliminatoires. Les Kings n’ont pas remporté une ronde éliminatoire depuis 2014. Ils ont faim.

Qu’Elias Pettersson retrouve la tranquillité d’esprit.

Laissons Jonathan Huberdeau produire davantage. À 10,5 millions de dollars par an, cela coûte cher.

La Coupe Stanley pour Connor McDavid. Sinon, il va tout détruire dans le vestiaire !

Quelle que soit votre allégeance, nous vous souhaitons un très joyeux Noël et espérons que vous continuerez à apprécier le hockey et le sport !

 
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