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une phrase attribuée à Macron sème la consternation

Dans le deuxième épisode de son enquête « Le président et son double », Le révèle une peine attribuée au président de la République qui suscite déjà de vives réactions à gauche.

“Le problème des urgences dans ce pays, c’est qu’il regorge de Mamadous.” Cette sentence, pour le moins choquante, est attribuée à Emmanuel Macron, selon le deuxième épisode de l’enquête explosive de Monde intitulé « Le président et son double ». Selon le quotidien du soir, cette phrase serait sortie de la bouche présidentielle « un jour de l’automne 2023 », alors qu’Emmanuel Macron, son fidèle secrétaire général de la présidence de la République française Alexis Kholer, en poste depuis l’arrivée du chef de l’Etat. état à l’Élysée, et un certain Aurélien Rousseau rencontré. Alors ministre de la Santé, Aurélien Rousseau démissionne en grande pompe quelques mois plus tard suite à l’adoption du controversé projet de loi… relatif à l’immigration justement. Il a depuis rejoint les bancs du Nouveau Front populaire à l’Assemblée, du côté Parti socialiste-Place publique.

En cette fameuse « journée d’automne 2023 », les trois hommes abordent donc l’épineux sujet de l’hôpital public et de l’aide médicale d’État accordée aux étrangers en situation irrégulière, « un sujet de santé et de sécurité publiques » a encore défendu la ministre de la Santé démissionnaire Geneviève. Darrieussecq à la mi-octobre, mais que la droite et l’extrême droite voulaient depuis longtemps écarter. « Le problème des urgences dans ce pays, c’est qu’il est plein de Mamadous », aurait dit Emmanuel Macron. Des propos vite nuancés par Aurélien Rousseau : “Non, ce n’est pas le premier problème de l’hôpital.” Et le chef de l’État d’ajouter : « Oui, oui. Vas-y, tu verras !

“C’est sale”, a réagi jeudi soir sur “Notre appel au limogeage est sur la table, ceux qui sont attachés aux principes de la République doivent s’en emparer”, a-t-elle ajouté. Des propos « accablants » pour le sénateur communiste Ian Brossat, qui déplore : « Quand on pense qu’il doit ses deux élections au front républicain… »

« Alors que les langues se délient et que Macron est abandonné par son propre peuple, le racisme de sa présidence apparaît sans maquillage ni artifice », juge David Guiraud, également député insoumis. “Ces propos sont inacceptables”, a déclaré le député LFI Thomas Portes, avant d’appeler à la démission du chef de l’Etat.

 
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