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Laveuse gratuite | Embaucher Jim Montgomery : comme Ken Hitchcock en 2011 ?

En novembre 2011, le directeur général des St. Louis Blues, Doug Armstrong, a licencié un entraîneur plutôt inexpérimenté, Davis Payne, pour le remplacer par un entraîneur de renom, Ken Hitchcock.

Les Blues avaient un club relativement jeune, avec des étoiles montantes comme Alex Pietrangelo, Kevin Shattenkirk, TJ Oshie, David Perron, Alex Steen, Jaden Schwartz et David Backes. Vladimir Tarasenko était dans un an avant de rejoindre l’équipe.

St. Louis avait une fiche de 6-7 après 13 matchs et avait raté les séries éliminatoires les deux saisons précédentes. L’arrivée d’Hitchcock a eu un effet immédiat. Les Blues ont obtenu une fiche de 42-15-11 et ont participé aux séries éliminatoires cette année-là et aux quatre saisons suivantes, avec un dernier carré en 2016.

Quatorze ans plus tard, presque jour pour jour, Doug Armstrong, aujourd’hui président des opérations hockey des Blues, a tenté une démarche similaire. Et il ne le cache pas.

“Si Jim Montgomery n’avait pas été disponible, Drew Bannister serait encore l’entraîneur des Blues aujourd’hui, mais nous avions une occasion unique de mettre la main sur l’un des meilleurs dans son domaine”, a expliqué Armstrong dimanche pour justifier le licenciement de son jeune. personne entraîneur.

“Il est prêt à diriger un groupe sur la pente ascendante, prêt à gagner”, a poursuivi le PDG, qui en est à sa dernière année avant la retraite. Cela me rappelle un peu l’embauche de Ken [Hitchcock] il y a une dizaine d’années, un entraîneur expérimenté avec une équipe jeune. Il a tiré le meilleur parti de ce jeune groupe. »

Comme Davis Payne, Drew Bannister n’avait pas une vaste expérience du hockey professionnel. Il avait été entraîneur-chef du club-école des Blues pendant quelques années et avait dirigé les Soo Greyhounds, dans la Ligue junior de l’Ontario, entre 2015 et 2018.

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PHOTO MATT FREED, ARCHIVES ASSOCIÉES PRESSE

Drew Bannister a été licencié dimanche.

Bannister a remplacé Craig Berube en décembre 2023. Il a été démis de ses fonctions d’entraîneur-chef par intérim le 7 mai 2024. Il a changé la donne à Saint-Louis avec une fiche de 30-19-5. Mais les Bleus sont déjà à cinq points de la dernière place donnant accès aux playoffs avec un bilan de 9-12-1.

Cinq jours après avoir été congédié par les Bruins de Boston, Montgomery rejoint les Blues, son premier club en tant que joueur, en 1993, avant d’être échangé aux Canadiens en échange de Guy Carbonneau.

Mais il n’hérite pas d’un groupe aussi puissant qu’Hitchcock à l’époque, n’en déplaise à Doug Armstrong. Les Bleus comptent évidemment sur un premier centre de grande qualité en la personne de Robert Thomas, 25 ans, 86 points l’an dernier. Jordan Kyrou, 26 ans, est un ailier capable de marquer une trentaine de buts et d’amasser 70 points ou plus par saison. Jake Neighbours, 22 ans, a marqué 27 buts l’an dernier. Pavel Buchnevich est un bon contributeur offensif, sans être une star, mais il aura 30 ans en avril.

Mais le deuxième centre, Brayden Schenn, est âgé de 33 ans. Radek Faksa, centre du troisième trio, est lui aussi trentenaire et n’accumule généralement pas plus de 20 points par an.

Il n’y a pas de Pietrangelo en défense, mais Colton Parayko, 31 ans, semble connaître une renaissance qui pourrait lui permettre d’atteindre 30 points pour la deuxième fois seulement depuis 2018. Philip Broberg, obtenu des Oilers d’Edmonton après avoir reçu une offre hostile, a connu un bon départ avant de se blesser. Sinon, la défense vieillit.

Parmi les meilleurs espoirs de l’équipe se trouve le défenseur Adam Jiricek, choix de première ronde en 2024, 16 ans.e au total, ainsi que les attaquants Dalibor Dvorsky, Otto Stenberg, Jimmy Snuggerud et Zachary Bolduc.

Les Blues ont raté les séries éliminatoires au cours des deux dernières saisons. Armstrong, fan de réinitialisations et non de reconstructions, a réussi à drafter cinq fois au premier tour au cours des trois derniers millésimes, et huit fois aux deuxième et troisième tours, mais il n’a pas réussi à drafter dans le top neuf depuis la sélection de Alex Pietrangelo en 2008.

Depuis leur conquête inattendue de la Coupe Stanley en 2019, les Blues ont participé aux séries éliminatoires à trois reprises en cinq ans, mais ils n’ont franchi le premier tour qu’une seule fois.

Pour relancer les Blues, Jim Montgomery aura besoin du gardien Jordan Binnington, dont la performance est ordinaire depuis le début de la saison avec une fiche de 6-9-1, une GAA de 3,04 et un pourcentage d’arrêts de ,891. Binnington, 31 ans, n’a jamais pu répéter ses exploits de 2019.

Alex Steen, déjà membre du comité décisionnel, prendra la relève de Doug Armstrong à la fin de la saison.

Citation du jour

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PHOTO BRIAN FLUHARTY, USA AUJOURD’HUI SPORTS

Brady Tkachuk

Il se soucie du succès de l’équipe. Nous avons de la chance de l’avoir. Les discussions à son sujet sont injustes à mes yeux.

L’entraîneur-chef des Sénateurs d’Ottawa Travis Green parle du capitaine Brady Tkachuk au milieu des rumeurs commerciales

Le coriace ailier des Sénateurs compte 21 points, dont 10 buts, en 20 matchs jusqu’à présent, soit 3 points de moins que le leader Tim Stützle. Avec une fiche de 8-11-1, les Sénateurs sont à six points de la dernière place en séries éliminatoires, avec deux matchs en main contre les Bruins.

 
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