Cet article a été traduit automatiquement par HIBAPRESS, la version arabe :
Heba Press-Youssef Adadad
Le tribunal algérien d’Oran a décidé d’accepter le procès intenté contre l’écrivain franco-algérien Kamal Daoud et son épouse, psychiatre, pour avoir exploité le récit d’une de ses patientes dans son dernier roman, “Nymphes”, récemment primé. prestigieux prix littéraire Goncourt à Paris. L’écrivain serait prochainement convoqué pour une enquête, a indiqué l’avocat du plaignant.
Des sources des droits de l’homme accusent les autorités algériennes d’être à l’origine de cette affaire, que certains voient comme une tentative de limiter la liberté d’expression et de punir l’écrivain connu pour son opposition au régime algérien.
Les critiques de ces mesures affirment qu’elles représentent une nouvelle phase de répression, après que les autorités avaient précédemment empêché la maison d’édition française qui a publié le roman « Houriat » de participer à la Foire internationale du livre d’Alger, reflétant un changement dans le ciblage de l’écrivain vers une lutte juridique. .
Cette mesure intervient à un moment délicat, à la lumière des critiques internationales et locales croissantes à l’encontre des autorités algériennes, accusées de limiter les libertés publiques et de réprimer les voix de l’opposition. Après la répression du mouvement populaire dans lequel les masses appelaient au changement, le régime algérien a continué à persécuter des militants politiques et des personnalités médiatiques à travers des procès que les défenseurs des droits humains considèrent comme « fabriqués » et « malveillants », car beaucoup d’entre eux ont été arrêtés dans des conditions fragiles. . coûts et sans respect des normes juridiques internationalement approuvées.
Dans ce contexte, l’avocate Fatima Ben Braham a déclaré lors d’une conférence de presse que “le ministère public a accepté le dossier”, confirmant que Kamal Daoud et son épouse seront prochainement convoqués pour confirmer les charges retenues contre eux.
Il a ajouté : « S’ils ne se présentent pas, un jugement par contumace sera rendu contre eux et ils ne pourront pas prétendre qu’ils n’étaient pas au courant de l’affaire au vu de cette fureur médiatique. »
Cette campagne judiciaire contre Kamal Daoud intervient à un moment délicat de l’histoire de l’Algérie, où la société est témoin de grandes tensions politiques dues à la multiplication des violations de la liberté d’expression et à la répression continue des voix de l’opposition.
De nombreux observateurs considèrent ces mesures comme faisant partie d’une politique plus large visant à faire taire l’opposition et les critiques dans le pays, d’autant plus que le régime algérien continue d’utiliser le système judiciaire comme outil pour réprimer ses opposants.
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