Publié le 15 novembre 2024 à 05h30. / Modifié le 15 novembre 2024 à 15h25
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En trois étapes, l’élargissement prévu serait réalisé entre 2027 et 2042.
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Si l’empreinte finale est limitée, sauf pour les forêts, l’empreinte associée aux travaux sera massive.
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Genève espère en faire un « périphérique fonctionnel » afin de désengorger les routes cantonales et communales.
Le vote du 24 novembre sur l’extension du réseau routier national n’a pas encore eu lieu et la prochaine étape, la suite « logique » si l’on ose dire, a déjà été évoquée. A Genève, c’est le projet d’élargissement de l’autoroute de contournement, dans le prolongement de l’A1 entre Genève et Lausanne, qui suscite de vives inquiétudes. Car par leur ampleur, leur coût et leurs nuisances, les travaux seront d’une toute autre dimension que ceux induits par les 19 kilomètres du tronçon entre Nyon et Vengeron.
C’est aussi ce que craignent la plupart des communes concernées, ainsi que diverses associations, dont Sauvegarde Genève, qui ont réuni mardi la presse pour évoquer les « impacts négatifs » de cet élargissement et proposer leur vision de la « mobilité durable » à Genève.
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