Valérie de Graffenried
Bruxelles
Publié le 13 novembre 2024 à 14h31 / Modifié le 13 novembre 2024 à 14h33
L’opération pourrait s’appeler « Sauver les meubles ». Pendant que Donald Trump distille petit à petit ses nominations ministérielles, Antony Blinken, le chef de la diplomatie de Joe Biden, a organisé un rapide déplacement à Bruxelles, histoire de consolider et surtout d’accélérer l’acheminement de l’aide militaire à l’Ukraine. La crainte que le nouveau locataire de la Maison Blanche gèle l’aide à Kyiv est réelle. Pour Antony Blinken, il s’agit avant tout d’anticiper le détricotage de la politique américaine envers l’Ukraine qui pourrait survenir dès le 20 janvier. Et de chercher à remotiver ses interlocuteurs européens, inquiets du changement de paradigme. « Nous comptons sur les Européens et les autres pour soutenir fermement l’Ukraine », a-t-il insisté, alors que Kiev subissait une attaque de missiles et de drones russes.
Plus de 60 milliards de dollars d’aide
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