Cet article a été traduit automatiquement par HIBAPRESS, la version arabe :
Heba Press – Ahmed Al-Musaed
Dans le cadre du programme « Égalité des genres et enjeux des migrants » de la ville de Nador, le Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA) et le Mouvement National pour les Droits des Filles, l’Association Tisgnas pour la culture et le développement (ASTICUDE ) a organisé samedi 14 décembre à Nador, une série d’ateliers intitulée : « Tables rondes de concertation » sur les droits des filles migrantes, dans le cadre des activités de la neuvième session de l’Exposition. Interculturel africain.
Contexte général
Au Maroc, les filles (migrantes et marocaines) constituent un pilier essentiel dans la construction d’une société inclusive et juste. Cependant, ils sont confrontés à des défis liés à l’inégalité entre les sexes, à la violence sexiste, à la discrimination et aux normes socioculturelles qui limitent leur plein développement.
Promouvoir une coexistence pacifique, fondée sur le respect des droits de l’homme, est essentiel pour leur permettre de participer efficacement à la vie sociale, économique et culturelle.
Objectifs du laboratoire
Cet atelier nous a permis de diagnostiquer et d’identifier les besoins, les attentes et les procédures à suivre pour arriver à un ensemble de recommandations et de suggestions, dans le but de les prendre en considération par les partenaires dans l’élaboration d’un plan d’action lors des sessions ultérieures, en mettant l’accent sur droits des filles.
L’importance de la coopération Sud-Sud
Cela nécessite de renforcer la coopération Sud-Sud entre les acteurs (pays marocains et subsahariens), de promouvoir la coexistence pacifique et les droits des filles en situation de vulnérabilité au Maroc et d’intégrer une réponse systématique et multisectorielle pour prévenir les violences basées sur le genre et les violences néfastes. violence. pratiques contre les filles, tout en offrant un espace de dialogue et de consultation sur le renforcement des cadres juridiques, l’amélioration des services appropriés et la sensibilisation de la communauté.
Le rôle du pluralisme culturel dans la protection des droits des filles
Comment le multiculturalisme peut enrichir la société socialement, économiquement et culturellement, tout en renforçant la protection des droits des filles parmi les acteurs marocains et subsahariens sur l’effectivité des droits des filles en situation de vulnérabilité face aux défis émergents, et réfléchir sur la manière de renforcer la protection. mécanismes entre pays, dans un contexte caractérisé par des défis croissants ? En raison de la migration persistante et des inégalités, il devient nécessaire de renforcer le mécanisme de coopération Sud-Sud pour promouvoir les droits des filles en situation de vulnérabilité.
Cette approche collaborative vise à développer des solutions adaptées aux problèmes spécifiques rencontrés par les filles migrantes ou vulnérables dans leurs pays d’origine, de transit ou d’accueil.
Un atelier interactif pour promouvoir les droits des filles
Au cours de l’atelier, divisé en deux groupes, nous avons discuté de l’importance du transfert de connaissances et d’expériences sur les questions de lutte contre les inégalités, les violences et les discriminations sociales et sexuelles, et de diffusion des bonnes pratiques auprès des grandes associations Sud/Sud. Les contextes économiques entre pays du Sud offrent l’opportunité d’échanger des connaissances, des expériences et des bonnes pratiques adaptées à la réalité locale.
Compte tenu de la similitude de la culture marocaine avec celle de nombreux pays africains, le transfert de connaissances et de compétences entre associations, institutions et acteurs communautaires peut jouer un rôle déterminant dans la lutte contre les disparités, les violences et les discriminations, en mobilisant et en sensibilisant les acteurs locaux, en mobilisant les décideurs des politiques publiques, en les sensibilisant aux problèmes et en les impliquant dans la construction d’une cartographie. Une voie claire et réalisable, qui permet la mise en œuvre d’une stratégie de base pour influencer les décideurs et mobiliser les ressources, en tenant compte des acteurs locaux (autorités, organisations de la société civile). , les dirigeants communautaires, les établissements d’enseignement et le secteur privé) pour apporter une réponse adéquate et durable.
L’atelier interactif a réuni de nombreux acteurs institutionnels et non institutionnels, des experts, des représentants d’organisations non gouvernementales, d’organismes consultatifs et de la société civile.