Ballotté à plusieurs postes depuis le début de l’Euro, le vice-capitaine des Bleus a déçu. A qui la faute ?
Envoyé spécial à Paderborn
« C’est ennuyeux à regarder, mais tout le monde y gagne. » Antoine Griezmann avait fait sourire le public, beaucoup moins son sélectionneur, début juin à Clairefontaine en décrivant le jeu de l’équipe de France. Un mois plus tard, les mots du vice-capitaine des Bleus n’ont pas pris une ride. Sans briller mais ultra-solides, les Bleus sont en quarts de finale après leur victoire contre la Belgique (1-0), et défieront le Portugal ce vendredi à Hambourg (21 heures), avec une potentielle demi-finale mardi prochain contre le vainqueur du choc Allemagne-Espagne. La route est encore longue et si la France espère survivre, elle attend aussi beaucoup plus de son numéro 7. Avec 0 but, 0 passe décisive, pour 11 tirs tentés, mais surtout un rayonnement à des années-lumière de son rendement habituel, « Grizou », 33 ans, passe, pour l’instant et comme Kylian Mbappé, à côté de son Euro. La faute à qui ? À lui ? À Didier Deschamps ? Un peu des deux évidemment.
Avec…
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