Publié le 29 novembre 2024 à 17h13 / Modifié le 29 novembre 2024 à 17h17
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Il y a une semaine, le petit village chrétien de Deir el Ahmar – 12 000 habitants au pied des montagnes libanaises – accueillait près de 20 000 personnes déplacées fuyant les bombardements dans la vallée de la Bekaa. Les logements collectifs étant saturés depuis longtemps, de nombreuses personnes vivaient dans leur voiture. Et les milliers de familles hébergées dans l’école du village ne pouvaient compter que sur un seul repas chaud par jour.
Mais vendredi, il n’y avait presque plus de personnes déplacées, grâce à la trêve. Une bénédiction pour le maire local qui s’inquiétait de l’approvisionnement en nourriture et en carburant pendant les mois d’hiver, une route étant bloquée par la neige et l’autre constamment bombardée. Quant à la région de Beyrouth, elle a vu vendredi plus de 80% des déplacés quitter les structures d’hébergement collectif.
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