“Ce chiffre est identique aux années précédentes et il n’y a pas de différence significative entre les hommes et les femmes, que ce soit pour 2021, 2022, 2023.” La nature des griefs change cependant. Les hommes se plaignent surtoutinsultes et menaces racistes« . Les femmes parlent davantage de «insultes et gestes à connotation sexuelle« . La ministre rappelle que le nombre de femmes utilisant les transports publics le soir est inférieur à celui de la journée.
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De nouvelles actions de sensibilisation sur le harcèlement seront menées, annonce le ministre. Une solution parfois évoquée est de faire des arrêts à la demande le soir entre deux arrêts de bus. Une option qui rencontre un accueil prudent du côté de la Stib. Selon le ministre, la Stib évoque une distance moyenne »déjà faible» entre les arrêts, ainsi que les questions de responsabilité juridique en cas d’accident et d’accessibilité. Mais le ministre ne ferme pas la porte. “C’est au prochain gouvernement de voir si c’est une option de faire un projet pilote.
