Cet article a été traduit automatiquement par HIBAPRESS, la version arabe :
Ufficio Hiba Press_Fès
Heba Press a appris de Source bien informée que le Tribunal des Crimes Financiers de Fès continue d’examiner le cas de corruption financière et administrative poursuivi par Jamal Masoudi, parlementaire et ancien chef du groupe Taza du Parti de la Justice et du Développement, accompagné de deux d’autres personnes.
L’affaire, qui concerne le détournement de fonds publics et la falsification de documents officiels, a été reportée à plusieurs reprises en raison de l’absence du représentant légal du groupe Taza, appartenant également au même parti, malgré sa convocation officielle.
Selon la même Source, le président de l’instance dirigeante a estimé lors des séances que cette absence répétée sans justification légale pouvait être considérée comme un outrage aux décisions judiciaires, puni par la loi de peines allant jusqu’à l’emprisonnement et à l’amende.
Le tribunal a adressé un avertissement au représentant légal, le prévenant des conséquences de sa non-présentation à l’audience suivante.
La même Source a ajouté que le juge d’instruction avait renvoyé Al-Masoudi devant le tribunal correctionnel de première instance au cas où il serait libéré après avoir payé une caution de deux millions de centimes, avec deux autres personnes impliquées dans l’affaire. Alors que les audiences se poursuivaient, le groupe territorial de Taza a été sommé de se joindre à l’action civile dans le procès contre Al-Masoudi et ses associés.
La prochaine séance d’examen du dossier devrait se tenir le 17 décembre, en attendant la position de la partie civile et la procédure judiciaire relative à l’absence du représentant légal du groupe Taza.