une admiration sans limite pour… Michael Jordan, Orel Hershiser et bien d’autres !

une admiration sans limite pour… Michael Jordan, Orel Hershiser et bien d’autres !
une admiration sans limite pour… Michael Jordan, Orel Hershiser et bien d’autres !

L’entraîneur-chef des Alouettes de Montréal, Jason Maas, peut discuter de différents sports pendant des heures et des heures sans se fatiguer. Non sans évoquer le regretté Gerry Rochon ou Paul Houde, il berce ses souvenirs en énumérant certains records et autres statistiques à un rythme effréné.

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L’absence des Alouettes à cette finale de la Coupe Grey aura au moins été une bonne chose. Naturellement plus extraverti que devant une meute de journalistes la semaine d’un match important, Maas a montré mercredi une facette méconnue de sa personnalité lors d’un long entretien au Journal. Dès lors, en faisant connaître son admiration pour le basketteur Michael Jordan, on comprend mieux pourquoi il est reconnu comme un coach passionné et ultra compétitif.

Jason Maas, entraîneur-chef des Alouettes de Montréal, s’est réuni le mercredi 13 novembre 2024, à Vancouver.

Photo Benoît Rioux

Quel était votre club préféré, quel que soit le sport, lorsque vous étiez enfant ?

« Je suis né dans le Wisconsin, mais j’ai grandi en Arizona, où le baseball, le football et le basket-ball sont les principaux sports. J’ai toujours aimé les Cowboys de Dallas dans la NFL, mais j’ai particulièrement grandi à l’apogée des Chicago Bulls dans la NBA. Au baseball, j’encourageais les Dodgers quand Orel Hershiser était mon lanceur préféré.

Avez-vous aussi suivi un peu la Ligue nationale de hockey ?

« J’étais un partisan des Oilers d’Edmonton à un moment donné à cause de Wayne Gretzky. Quand il a été échangé aux Kings [en 1988]J’ai pu aller le voir jouer quelques matchs à Los Angeles quand j’étais encore jeune.

PHOTO THE ARCHIVES / LE JOURNAL DE MONTREAL

Vous semblez avoir toujours préféré les clubs gagnants plutôt que de vous aligner derrière les différentes équipes de l’Arizona, non ?

«Je suppose qu’on pourrait dire ça, mais quand j’étais au lycée, j’ai eu la chance de faire de bonnes saisons avec les Phoenix Suns avec Charles Barkley et Dan Majerle. J’ai aussi beaucoup aimé le lanceur Randy Johnson pendant son séjour avec les Diamondbacks.

Dans tous les sports, y a-t-il un athlète que vous admirez particulièrement ?

« Michael Jordan était mon joueur préféré, il était tellement intense pendant les matchs. Il a tout vu et a prêté attention à chaque détail. Ses yeux n’ont jamais quitté le terrain et c’est pourquoi j’aimais tant le regarder. J’ai toujours essayé d’être comme lui, intense du début à la fin d’un match, que ce soit en tant que joueur ou entraîneur. Malheureusement, j’ai déjà moi-même porté malheur à Jordan.

Pourquoi dis-tu que tu as déjà porté malheur à Michael Jordan ?

“Jordan jouait avec les Wizards quand j’ai pu aller voir un match contre les Indiana Pacers avec mon père. [le 27 décembre 2001]. Plus le jeu avançait, plus je réalisais qu’il n’allait probablement pas terminer la partie avec 10 points ou plus. Tout au long de sa carrière, j’ai suivi cette séquence extraordinaire de plus de 800 matchs consécutifs avec 10 points ou plus. À la fin du match, j’ai remarqué que sa séquence s’était terminée à 866 lors du match auquel j’avais assisté.

NDLR : Maas identifie le partenaire de sa mère comme étant son père, puisqu’il a grandi avec lui. Son père. biologique, Gary Maas, qui était policier, est cependant est décédé tragiquement lors d’une arrestation qui a mal tourné en 1986 alors qu’il n’avait que 10 ans.

 
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