Publié le 7 avril 2024 à 11h26. / Modifié le 7 avril 2024 à 12h53.
Plus de salaires pour les salariés, moins de travail pour les patrons et pas de questions des autorités : les pourboires étaient une sorte d’argent noir. Mais l’augmentation des transactions par carte, téléphone et application l’a rendu visible. En effet, ces paiements transférés numériquement laissent des traces dans la comptabilité des entreprises, rapporte le NZZ au Sonntag. Qui pose cette question : que faire des pourliches ? Faut-il les taxer ?
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