Avec « Emancipation », deuxième volet de sa trilogie musicale débutée avec « Freedom », Soprano explore des thèmes forts. « Je voulais parler d’émancipation, de tout ce qui nous emprisonnait : les relations toxiques, les situations d’oppression. L’idée c’est de renaître de tout ça avec le dernier album, Renaissance, qui sortira prochainement”il explique.
A travers ses textes, Soprano sensibilise son public aux dangers des relations toxiques, avec des chansons comme « grip ». « Il y a des gens qui se sentent écrasés, manipulés, oubliés. C’est important d’en parler, surtout en tant qu’artiste populaire, pour toucher les jeunes et les inciter à se protéger”.
Actuellement en pleine tournée, Soprano s’apprête à enflammer le palace 12 à Bruxelles les 18 et 19 avril, avec peut-être une troisième date en préparation. « Bruxelles est spéciale pour moi »souligne-t-il. « Le lien avec le public belge est indestructible. Je vois des fans belges partout, même en France, qui me suivent à chaque concert”.
Pour soprano, la scène est essentielle : « C’est ici que je peux exprimer mes émotions, mes idées et mes folies. Chaque concert est une fête, mais aussi une histoire ». Avec sa nouvelle tournée, il nous transporte en 2054, dans un monde dominé par l’intelligence artificielle, où il peine à rassembler les humains autour d’un concert.
2030 : Une retraite ou un nouveau départ ?
L’annonce a fait grand bruit sur les réseaux sociaux : Soprano pourrait prendre sa retraite en 2030. Mais il nuance : « Quand je dis retraite, cela ne veut pas dire que je n’aime plus la musique. Je n’arrêterai pas de faire de la musique, je veux continuer à faire des chansons, mais peut-être ralentir sur les albums et les tournées..
Pour autant, Soprano ne compte pas lever le pied tout de suite. « Dans les quatre prochaines années, je prévois de sortir dix albums ! Mon rêve ? Organiser un concert sur le terrain de Mars avec toutes les générations qui ont écouté ma musique, pour pouvoir faire une grande fête”.
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