Diane Tell sera intronisée au Songwriters Hall of Fame, une consécration qu’elle estime tardive, et se produira demain lors d’une cérémonie historique à Toronto.
Au micro de Mario Dumont à QUB Radio (99,5 FM à Montréal), Diane Tell a évoqué avec émotion son intronisation au Temple de la renommée des auteurs-compositeurs, une distinction qu’elle attendait depuis longtemps. “Si j’étais un homme, j’aurais déjà été intronisée en 2017”, a-t-elle déclaré, soulignant implicitement les inégalités persistantes dans l’industrie musicale.
L’artiste québécoise, qui a marqué de son empreinte la scène musicale francophone avec une quinzaine d’albums et plusieurs récompenses, se dit honorée de rejoindre des légendes comme Leonard Cohen et Joni Mitchell, qu’elle qualifie de « grande déesse » de la musique. Demain, lors de la cérémonie à Toronto, elle partagera la scène avec la chanteuse Dominique Fils-Aimé pour une performance unique. « Ce sont des artistes invités qui interpréteront nos chansons. Je vais l’accompagner à la guitare”, a-t-elle révélé en exclusivité, promettant des surprises à ses fans.
Si elle se réjouit de ce moment, Diane Tell n’a pas caché ses hésitations sur la langue de son discours lors de la cérémonie, largement anglophone. « Que feriez-vous à ma place. […] Les Québécois m’excuseront-ils si je parle en anglais ? » demande-t-elle, un peu en plaisantant, consciente du public international qui suivra l’événement, notamment via la plateforme Twitch.
Malgré ces interrogations, l’artiste promet un moment mémorable. «Je vais faire un petit discours… et nous allons parler», a-t-elle conclu avec enthousiasme, avant de confirmer qu’elle travaille actuellement sur un nouvel album et qu’elle sera de retour sur scène au Québec.
*Ce texte, généré à l’aide de l’intelligence artificielle, a été revu et validé par notre équipe sur la base d’un entretien réalisé au QUB.
