Publié le 20 septembre 2024 à 08h54
Thomas Dutronc fait parler de lui. En pleine promotion de son dernier album, sorti vendredi 13 septembre, le fils de Françoise Hardy s’est exprimé sur le récent décès de sa mère.
Thomas Dutronc, un fils tourmenté, un chanteur accompli. Vendredi 13 septembre, Thomas Dutronc a dévoilé au public son nouvel album : « Il n’est jamais trop tard ». Lors d’une interview accordée à « Ciné Télé Revue », le fils de Françoise Hardy et Jacques Dutronc a évoqué le récent décès qui a bouleversé sa vie : la perte de sa mère.
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« On n’est jamais prêt à un décès, même si elle était malade depuis des années », débute-t-il son entretien. En effet, cela fait trois mois que Françoise Hardy s’est éteinte à l’âge de 80 ans des suites d’une longue maladie. Un départ qui a beaucoup affecté son fils unique. Dans cet entretien accordé à « Ciné Télé Revue », ce dernier révèle qu’il a un regret : ne plus pouvoir communiquer avec sa mère. « Vous n’imaginez pas le nombre de fois depuis qu’elle est partie que j’ai voulu lui envoyer un texto, lui dire quelque chose de touchant, mignon, drôle qui m’est arrivé. Et je ne peux plus », confie-t-il. Des messages fréquents échangés qui ont permis à ce duo soudé d’entretenir leur relation unique : « Nous avions un lien très fort. »
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Un dernier message texte
Friand de messages avec sa mère, Thomas Dutronc avait évoqué dans une interview pour le « Parisien », l’un des derniers SMS échangés avec sa mère, un moment d’effroi. Il explique : « Un soir à Châtellerault, après un concert, elle m’a envoyé son dernier SMS vers 1 heure du matin, trois semaines avant sa mort. » Un texte dans lequel elle écrivait à son fils : « Je t’aime plus que tout. » Le fils de Françoise Hardy n’a pas tardé à lui répondre : « Moi aussi, ma chère mère » et je lui ai envoyé des photos de moi bébé avec elle. Puis, j’ai reçu un autre message : « Je meurs. » J’étais paniqué à l’idée de ne plus le revoir, qu’elle meure dans la nuit. » Il révèle ensuite que Françoise Hardy s’était « remise » et qu’il avait eu le temps de lui dire au revoir dans ces derniers instants de vie : « Je lui ai dit plusieurs fois qu’elle n’avait pas à s’inquiéter pour moi, que je l’aimais. »
