GOJIRA « Mea Culpa (Ah ! Tout ira bien !) », n°1 aux USA !

GOJIRA « Mea Culpa (Ah ! Tout ira bien !) », n°1 aux USA !
GOJIRA « Mea Culpa (Ah ! Tout ira bien !) », n°1 aux USA !

© Chris Caprin | FORCE DURE

Oui, il y a beaucoup de points d’exclamation dans le titre, mais c’est une véritable réussite. GOJIRA, Marina Viotti et Victor Le Masne, musicien et compositeur, en classant « Mea Culpa (Ah ! Ça ira !) » en tête du top single numérique, catégorie hard rock, outre-Atlantique. La chanson qu’ils ont interprétée lors de la cérémonie d’ouverture de Paris 2024, le 26 juillet, arrimée au mur de la Conciergerie par des harnais, ainsi que lors de la cérémonie de clôture des Jeux olympiques, le 15 septembre. Ce qui fait d’eux le tout premier groupe de métal au monde à se produire lors d’un événement aussi prestigieux.

Sauf que dans le second cas, seule la mezzo-soprano, qui n’a jamais caché son passé de métalleuse, était présente, la prestation des frères en juillet Duplantier, Jean-Michel Labadie Et chrétien André projeté sur rien de moins que l’Arc de Triomphe. Ces derniers étaient en effet en pleine tournée américaine en première partie de KORN et en compagnie de SPIRITBOX.

C’est seulement la troisième fois dans sa carrière que GOJIRAdont la cote de popularité a véritablement explosé dans le monde entier, compte un de ses titres dans le top 10 du Billboard, après « Another World », 5e en 2020, et « Our Time Is Now », 4e en 2022. Une sorte de révolution (française) sans la moindre effusion de sang.

La cérémonie de clôture…


​Retrouvez l’interview de Mario Duplantier réalisé quelques jours après la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques.

À propos de l’auteur

Laurence Faure

Laurence s’est lancée dans le hard rock il y a déjà pas mal d’années. Mais partant du principe que « Si c’est trop fort, t’es trop vieux » et qu’elle écoute toujours de la musique à 11, elle se croit la preuve vivante que le métal à haute dose est une véritable fontaine de jouvence. Ou alors elle est sourde, mais qu’elle rêve… Après avoir lu « religieusement » la presse française de l’âge d’or, Laurence a rejoint Hard Rock Magazine en tant que journaliste et secrétaire de rédaction, avant de devenir brièvement rédactrice en chef. Débarquée et bien décidée à changer de domaine, LF travaille désormais dans la presse spécialisée (sports mécaniques), mais comme le métal est vraiment la seule chose qui fait battre son cœur, quand HARD FORCE lui a proposé de rejoindre l’équipe fin 2013, elle est arrivée « vite comme un requin ».

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