Fabio Quartararo a conclu la journée d’ouverture du Grand Prix de Barcelone avec le 14ème temps. Le Français espérait mieux après avoir constaté des progrès lors de la tournée outre-mer.
Jour. « Je m’y attendais un peu. C’est un circuit où l’on rencontre des difficultés. Nous avons toujours les mêmes problèmes d’adhérence et c’est là que nous les ressentons le plus. »
Données provenant d’autres circuits. « Nous le pouvons, mais cela ne nous aidera pas vraiment. J’ai réussi à faire quelques tours derrière pas mal de motos, et on voit bien que c’est un circuit où dans pratiquement chaque virage, il faut une bonne sortie, et nous ne l’avons pas. »
Attendre mieux ? « Ici, je m’attendais à un peu de ça, peut-être un peu mieux, mais surtout vu où on en est dans cet aspect, c’est énorme. Il y a des circuits où quand la piste a du grip, on n’est pas aussi loin de certaines motos, mais il y a des circuits où quand le grip est vraiment faible, on est à des années lumières. Alors, comment trouver la solution à cela, je ne sais pas. »
Qu’en est-il des progrès en électronique ? « On a tellement peu d’adhérence que quoi que je fasse, c’est toujours la même difficulté, on n’arrive pas à faire un pas en avant. Ce n’est même pas la limite du pilotage, c’est la limite du vélo. Quand on accélère, on peut tout tenter, le vélo glisse tout le temps. »
La Honde progresse. “Quand j’étais derrière Johann, nous voyons que, comme je l’ai dit à plusieurs reprises, il y a des endroits où nous sommes meilleurs que la Honda, mais il y a beaucoup d’endroits où nous sommes bien pires, comme le grip. »
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