Entre les contacts en piste, le majeur levé et cette leçon d’anglais, Liberty Media a dû se faire peur à Misano

Pour ce deuxième rendez-vous MotoGP à Misano, les pontes de Liberty Media sont venus discrètement faire un tour des lieux. L’occasion pour eux de découvrir un monde bien différent de leur Formule 1 très polie et carrée. Pour les convaincre de cet état de fait, le Grand Prix d’Émilie-Romagne avait sorti le grand jeu avec un dépassement dans le dernier tour au contact et à la polémique, un doigt d’honneur sur la ligne d’arrivée et une leçon d’anglais aux mots crus en conférence de presse. Bref, tout ce que Liberty Media a banni de la catégorie reine du sport automobile…

Pour comprendre la profondeur et l’ampleur du fossé qui sépare actuellement la F1 et le MotoGP, il faut se rappeler que, parallèlement à cette Misano 2 de haut vol, un Grand Prix de Singapour a eu lieu où
Max Verstappen Le multiple Champion du Monde venait d’être condamné à deux jours de travaux d’intérêt général pour avoir débattu de l’emploi déplacé, mais dans le feu de l’action, à la radio, au volant de son bolide, du gros mot « F… ».

Les pilotes MotoGP devront-ils s’habituer au service communautaire et aux éducateurs de Liberty Media ?

Le même que celui entendu plus tard dans la « cool-room » de Misano 2 dans la conversation entre Martin Et
Bastianini et qui sera alors moqué parmi les mêmes Bastianini et un Marc Marquez en lui donnant une leçon d’anglais… Sans parler des dépassements cavaliers, le genre de manœuvres qui n’est plus possible en F1 de nos jours sans être certain d’obtenir son ticket pour l’échafaud.

Bref, Médias Liberty a découvert un enclos politiquement incorrect. La question est maintenant de savoir si les Américains vont le ramener au pas et marcher au pas ou s’ils vont le supporter. Nous avons une idée de la réponse. Et vous ?

Médias Liberty

 
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