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Le spectre de la congestion menace la rentrée scolaire. Les unités de coordination éducative protestent contre « l’intransigeance » de Benmoussa.

Il semble que le ministère de Benmoussa soit à l’aube d’un nouveau mouvement éducatif semblable à celui qu’ont connu les hommes et les femmes de l’éducation la saison dernière et qui a coûté aux enfants marocains environ 12 semaines de temps scolaire, en raison de l’intransigeance et de l’échec du ministère. réagir rapidement aux revendications des manifestants.

Dans un scénario similaire à la saison dernière, et loin des syndicats, 21 comités de coordination ont annoncé leur intention de déclencher une grève nationale samedi 5 octobre prochain, pour défendre l’école publique et tous ses travailleurs, et faire face à toutes les tentatives d’anéantissement. les acquis, préserver les droits et garantir le droit à une éducation gratuite pour tous, de qualité et des chances égales. Pour tous les segments de la société, selon ce qui est indiqué dans la déclaration nationale de coordination du secteur éducatif, qui comprend 20 comités de coordination.

La Coordination a constaté que les causes de la congestion existent toujours, outre l’admission scolaire actuelle caractérisée par le surpeuplement, l’annulation du soutien destiné aux étudiants, l’abandon scolaire et la scolarisation hésitante dans les établissements d’enseignement, en plus du coût élevé des fournitures scolaires, le l’absence d’infrastructures dans de nombreux établissements d’enseignement et le retard dans la préparation et la fourniture de la logistique, notamment pour les établissements. Menant.

Le communiqué mentionne l’incapacité de répondre aux demandes de nombreux groupes éducatifs dans les dialogues sectoriels et centraux, et l’incapacité de répondre aux demandes des retraités et des femmes retraités et des hommes et femmes en exercice pour les promouvoir hors de l’échelle conformément au décret d’avril. Accord du 26 décembre 2011 avec rétroactivité administrative et financière et augmentation de leurs pensions.

La Source a souligné que les demandes des retraités et des retraitées de l’Autorité d’Administration Éducative n’ont pas été satisfaites, et les demandes des professeurs et du personnel spécialisé qui ont été obligés de contracter avec des finances centralisées comme le reste des femmes et des hommes de l’éducation, et l’incapacité à s’engager dans la réduction et l’uniformisation du temps de travail, en plus des dossiers d’autres catégories encore en attente.

La coordination a constaté l’incapacité de faire circuler les indemnités complémentaires au profit des écoles préparatoires et primaires et des spécialistes pédagogiques et sociaux, outre l’incapacité du ministère à respecter les résultats des dialogues syndicaux, l’incapacité des enseignants à percevoir 1.000 dirhams en échange de la correction des épreuves d’examen de certification. , et l’absence de normes équitables et transparentes pour l’affectation des enseignants des écoles préparatoires et des enseignants des écoles préparatoires, laissant la question entre les mains des directeurs selon les normes. Mauvaise humeur, selon la Source.

Le communiqué confirme que le ministère n’a pas retiré toutes les décisions disciplinaires de représailles que ses services avaient émises précédemment contre les professeurs détenus et le personnel compétent, en plus de ne pas mettre en œuvre les accords antérieurs signés avec les syndicats éducatifs (l’accord des 10 et 26 décembre 2023). .

De son côté, la Coordination Unifiée du Personnel Enseignant et des Cadres d’Accompagnement au Maroc a appelé le personnel enseignant à déclencher une grève d’avertissement de 24 heures le samedi 5 octobre 2024, et à participer au stand centré à Rabat devant au siège du ministère de l’Éducation nationale, à partir de 116h30 du matin.

La coordination a déclaré dans un communiqué qui lui est attribué : « L’anniversaire de la Journée des enseignants arrive à nos portes, un an après l’annonce d’un grand cri de la part du personnel enseignant, qui est le résultat objectif d’années d’accumulation d’oppression et d’injustice et de les efforts nécessaires de la part des responsables pour mettre au plus bas la situation sociale, économique et culturelle du personnel enseignant. .

Le communiqué souligne la nécessité d’accélérer le règlement des salaires d’un grand nombre des 27 professeurs précédemment arrêtés, y compris les salaires des six premiers mois de détention, avec la suppression immédiate des diverses sanctions de représailles imposées à leur encontre. Il a également appelé à résoudre les problèmes factionnels en suspens.

Le ministère de l’Éducation nationale a appelé à accélérer la mise en œuvre des exigences des accords de décembre 2023, notamment la généralisation des rémunérations complémentaires aux enseignants du primaire et du collège et aux spécialistes pédagogiques et sociaux, outre la détermination et l’unification des horaires de travail entre les trois branches éducatives.

 
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