Aaron Rodgers et Robert Saleh semblent en désaccord sur la façon de résoudre un problème offensant

After the most disappointing loss of the year was history, a beaten and clearly battered Aaron Rodgers showed up for the postmortem. And then things got worse.

Then he seemed to get annoyed.

And he seemed to disagree with his head coach.

Yeah, this is going to be a New York sports talk issue Monday.

Reasons For Jets To Be Unhappy

The Jets lost to the Denver Broncos at MetLife on Sunday and it’s the way that it happened as much as the fact that it happened that made things so miserable for Gang Green:

The Jets had 10 days between games to prepare for this one, so plenty of time to perform at a high level. They didn’t.

They committed 13 penalties for 90 yards. So they looked undisciplined as well as kind of inept on offense.

They lost at home to a team that practiced on tennis courts one day last week because of conditions from Hurricane Helene.

And the Jets yielded 126 rushing yards to a one-dimensional team that didn’t offer much of a passing threat with rookie quarterback Bo Nix.

Rodgers-Saleh, je n’étais pas gros

Et pourtant, ce n’était pas le plus gros problème qui jetait une ombre sur les Jets. C’était :

Pour le deuxième match consécutif, les gens se demandent exactement quel genre de relation entretiennent l’entraîneur Robert Saleh et le quart-arrière Aaron Rodgers.

Parce que pour le deuxième match consécutif, les choses semblent gênantes.

Vous savez, les choses semblaient un peu gênantes lorsque les Jets ont battu les Patriots un jeudi soir. Après un jeu marquant, Rodgers et Saleh ont profité (pas vraiment) d’un moment sur la touche.

Et, pour être honnête, peu importe à quel point Rodgers semblait curieux lorsqu’il regardait son entraîneur du côté, cela était accompagné d’une explication d’après-match. Alors, ne croyez pas vos yeux menteurs.

Tout va bien au paradis.

Saleh bouleversé par les problèmes de pré-snap

Mais contrairement à l’habitude de ne pas me faire un câlin en marge, ce dimanche n’accepte aucune explication qui apaise facilement les inquiétudes.

Les Jets, voyez-vous, ont écopé d’environ 4 302 pénalités pré-snap en attaque. Eh bien, il me semblait qu’il y en avait autant. Saleh a donc été interrogé à ce sujet après le match.

“Nous devons le découvrir”, a déclaré Saleh. « Que nous soyons assez bons ou prêts à gérer toute la cadence. La cadence n’avait pas été un problème pendant tout le camp. J’avais l’impression que notre opération fonctionnait plutôt bien, évidemment, aujourd’hui, elle a pris un grand pas en arrière.

Le truc sur la cadence est un outil pour Rodgers. Il l’utilise pour profiter de la défense en la rendant incertaine du moment où le ballon va être cassé.

Alors Rodgers adore ça.

Et l’idée que Saleh ait suggéré que cela pourrait disparaître l’a apparemment offensé.

Rodgers-Saleh II pourrait être un problème

“C’est une façon de procéder”, a déclaré Rodgers. « L’autre façon est de les tenir pour responsables. Nous n’avons pas eu de problème, nous avons eu un faux départ. Morgan (Moses) a eu un faux départ, je crois, jusqu’à cela.

«C’est une arme. Nous l’utilisons quotidiennement dans la pratique. Nous avons rarement un faux départ, et en avoir cinq aujourd’hui, cela semblait être quatre ou cinq, cela semble être une valeur aberrante.

“Je ne sais pas si nous devons apporter des changements massifs basés sur une sorte de jeu aberrant.”

Pour être honnête, Saleh n’a pas dit que des changements massifs allaient arriver.

Mais pour être honnête, il semble que le premier réflexe de l’entraîneur soit de reculer lorsque quelque chose devient un problème en attaque. Et le premier réflexe du quarterback est d’y remédier, de le corriger et d’avancer.

Ce sont deux approches évidemment différentes.

J’aime l’approche de Rodgers. Et je pense que celui-là prévaudra. Mais ce désaccord ouvert entre l’entraîneur et le quarterback semble bien gênant.