plus de 1 100 arrestations en 2024

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Les chiffres de la deuxième phase du «plan de crack» ont été dévoilés ce mardi 4 février, un an après sa mise en œuvre. Les autorités réalisent une évaluation positive.

Objectifs atteints pour le siège de la police de Paris. Dans un communiqué de presse, signé avec l’accusation, l’agence de santé régionale, la préfecture régionale et la mairie, les autorités ont dévoilé ce mardi 4 février, les chiffres de la deuxième étape du plan de crack, un an après la mise en place de travail de ce dernier.

En 2024, une forte présence de la police a été maintenue dans les secteurs de la consommation connus. La médiation a été développée dans les rues et les acteurs ont travaillé sur le «renforcement de la coordination des joueurs sur le terrain», peut être lu dans le document.

Une «amélioration constante» de l’apaisement de l’espace public émerge. Au total, 1 141 trafiquants ont été arrêtés en Île de-France en l’espace d’une année. 23 fissures ont également été démantelées.

Pour lutter contre la consommation de cette drogue, le bureau du procureur de Paris a déclaré qu’il poursuit ses actions avec «une ferme politique pénale». 43 personnes ont été référées pour une apparition sur la reconnaissance préalable de la culpabilité pour la traite, et 285 personnes ont été considérées comme une apparence immédiate pour les mêmes faits.

Alors que les trafiquants sont rapidement référés et des phrases «importantes» prononcées, des alternatives sont offertes aux consommateurs avec des chemins de soins. 362 personnes ont pu bénéficier d’une injonction thérapeutique.

Pas de réinstallation ou de relocalisation

Le «plan de fissure» a également conduit à «144 opérations à lutter contre l’immigration irrégulière en 2024, dans les secteurs fréquentés par les consommateurs, donnant naissance à 1 399 chèques et 317 soumissions administratives», peut toujours être lue au stade du point D ‘. Au total, 26 trafiquants ont également été renouvelés à la frontière, spécifie le siège de la police.

Toutes ces actions ont permis, selon le siège social de la police, d’éviter toute réimplantation ou relocalisation, en particulier dans le nord-est de Paris, où la consommation de fissure s’était développée, bien que les secteurs restent sensibles.

Au-delà des arrestations et des actions de la police, qui sont restées «soutenues», soulignent les autorités, de nombreux systèmes de prévention ont été déployés ou renforcés l’année dernière. Ainsi, par exemple, l’équipe de l’unité d’assistance sans abri (UASA) dédiée aux consommateurs de drogue a remporté trois nouvelles paires. La préfecture de la police a créé un «groupe de partenariat opérationnel» dédié au problème de crack.

Si l’année 2024 était donc marquée par une évaluation positive pour tous les acteurs de la lutte contre la consommation et le trafic de crack, la préfecture de la police décrit cependant un «contexte mondial qui reste complexe» au début de la nouvelle année.

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