Bart de Wever sort le scalpel: la fin de la Belgique à crédit!

Bart de Wever sort le scalpel: la fin de la Belgique à crédit!


Mardi, atmosphère électrique dans la pièce. Bart de Wever devait révéler son grand plan pour redresser la Belgique. Mais surprise: à l’ouverture de la session, toujours pas de table budgétaire détaillée.

Un «oubli» qui a fait sauter l’opposition. Pire encore, les Français et les néerlandais du texte du texte se sont diffractés sur des points clés, en particulier les gains de capital célèbres. Un début légèrement bancal pour un Premier ministre qui veut «passer l’ordre».

Mais ne paniquez pas! Le Parlement a fini par recevoir des tables budgétaires. Heureusement, car un budget sans chiffres est comme un Noël sans sapins! Et puis, parce que lorsque Bart de Wever est allé à la galerie, il avait un look déterminé et le ton sérieux: «Notre prospérité est menacée», a-t-il déclaré. Avant de ramener le point à la maison: «Si nous ne faisons rien, la Belgique aura bientôt le pire budget du monde occidental.» Alors, la solution? L’assainissement le plus difficile de l’histoire moderne du pays. Traduction: accrochez-vous, ça va secouer!

Chômage, pensions et coupes budgétaires: tout doit disparaître!

Premier projet majeur: chômage. Plus d’allocations indéterminées. À partir de maintenant, ce sera un maximum de deux ans (avant 55 ans), juste pour pousser tout le monde à reprendre le travail. Pour éviter les «effets pervers», le salaire des actifs augmentera toujours plus rapidement que les allocations. Cela devrait ravir les employeurs… et ennuyer les syndicats!

Deuxième terrain extrait: pensions. «Nous le faisons à contrecœur», explique Bart De Wever, chirurgien pour l’amputation. Concrètement, le calcul des années travaillées sera durcie et il y aura un système de bonus / pénalité pour ceux qui commencent à la retraite plus tôt ou plus tard. Le tout est progressivement mis en place… jusqu’en 2060. Il suffit de dire que ceux qui gémissent aujourd’hui seront dans une maison de soins infirmiers quand tout sera efficace.

Moins d’état, plus d’armée et un coup sur la migration

Niveau public, le message est clair: fin de la récréation. Tous les services non liés à la sécurité passeront par la «guérison de l’efficacité» promise par le Premier ministre. De toute évidence: économies, coupes et plus de coupes. Sauf… pour l’armée! Parce que l’OTAN exige ses 2% du PIB et Bart De Wever a l’intention de respecter l’engagement.

Un autre point chaud: l’immigration. La Belgique durcira sa politique, réduira les budgets de réception, limitera les conditions de réunification familiale et investit dans des centres plus fermés. «Les accusations de politique actuelle sont trop lourdes», explique le Premier ministre. Atmosphère.

Qu’en est-il de la réforme de l’État? Radar

Étonnamment, Bart De Wever n’a pas fait l’affaire sur une grande réforme institutionnelle. Il vient de confirmer l’abolition du Sénat. Un symbole, mais pas la révolution que certains attendaient.

Le nouveau Premier ministre met fin à son discours sur une métaphore sportive: «Le voyage qui nous attend n’est pas une promenade en santé, mais est plus l’ordre d’une catégorie de passe extérieure.» Oui, mais je veux dire: combien de coureurs sur le vélo? Et surtout, combien de coureurs viendront au sommet? Attente.

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