Bart de Wever, un Premier ministre tenace avec un caractère atypique

Bart de Wever, un Premier ministre tenace avec un caractère atypique


La volonté d’une Flandre plus prospère et la nécessité de compromis

Un Premier ministre qui a également noté qu’il ne rêvait pas vraiment de jouer ce rôle. Il ne faut pas oublier que depuis 2003, aucune personnalité qui occupait ce rôle n’a réussi à chaîner deux termes consécutifs au 16 rue de la loi. Face à cette perspective, quel est l’esprit de Bart de Wever?

C L. : Je pense qu’il a changé parce qu’il pensait également qu’il pouvait atteindre ses objectifs de toute façon d’une autre manière que ce qu’il avait peut-être considéré au début. Le premier objectif est que la Flandre continue de se développer, d’être l’une des régions phares de l’Europe, et qu’en même temps, la Wallonie ne doit pas être en reste. À mon avis, le problème du personnage (et de certains médias et analystes de la Payage néerlandais dans le nord du pays) Une vision très négative de la Wallonieet qui en quelque sorte n’est pas entièrement faux en réalité.

Voici ce qu’il a dit récemment, quelques heures avant de mettre sa nouvelle responsabilité: «Je suis ce que je suis, je ne changerai pas, je suis respectueux de tout le monde et de chaque tradition. Je ne suis pas quelqu’un qui est révolutionnaire, je suis respectueux de chaque tradition très de celle que je voudrais changer». Je dirais qu’il est elle-même. De toute évidence, c’est une bonne guerre, c’est aussi sa tactique. En politique, nous devons avoir un sentiment de compromis, sinon nous échouons rapidement et nous disparaissons.

Personnellement, je suis sûr que Le pays ne sera pas épargné par toutes sortes de crisesParce que c’est un peu une marque également en Belgique. Cela dit, nous avons toujours eu, me semble-t-il, le sentiment de compromis qui n’est pas un compromis, et qui permet donc à la politique de continuer à affirmer un certain nombre de ses idées.

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