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“Laissez-les bouger un peu !”, un Ugo Mola taquin met un joli peu de pression aux Bleus

Treize. C’est le nombre de joueurs dont Ugo Mola est désormais privé, du moins pour ce premier rassemblement des Bleus à Marcoussis. Comme chaque année, le début d’année n’est jamais vraiment le meilleur moment de l’année pour le champion de en titre, qui se retrouve une nouvelle fois avec un effectif décimé. A la fois fataliste et philosophe, le manager toulousain a confié ses impressions à La Dépêche du Midi. Evidemment, il y a de la frustration mais c’est la règle du jeu et il ne peut que l’accepter.

C’est l’histoire de ma vie. En tout cas, de ma vie d’entraîneur toulousain. […] Oui, frustrant. Comme c’est souvent le cas, j’aime dire que si vous passez votre temps à vous plaindre des règles, c’est parce que vous n’avez pas vraiment compris les règles au départ. On connaît les règles, c’est frustrant (…) Pour moi, c’est sûr que quand je les ai, je suis content de les avoir. Je ne vous cacherai pas que lorsque je les vois partir, je suis toujours un peu inquiet. C’est comme ça, ce sont les enfants de divorcés, on sait ce que c’est, ça fait partie du jeu !

Mola met la pression aux Bleus

Malgré les différents absents pour débuter cette préparation, le XV de France part comme étant l’un des favoris de ce tournoi des 6 Nations, avec l’Irlande. Plusieurs cadres de l’équipe de France ont souligné qu’ils avaient faim de titres, et que ce seul tournoi remporté leur était clairement insuffisant. 2025 est-elle enfin la bonne année ?

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En tout cas, Ugo Mola, très taquin, s’est permis de mettre un joli petit coup de pression à Fabien Galthié, ses adjoints et ses joueurs : “Je vous rappelle que cette génération n’a réalisé qu’un seul Grand Chelem en 5 ans, alors peut-être qu’ils devraient bouger un peu !”. Après tout, il perd une bonne partie de son effectif, donc ce serait bien qu’il y ait un titre à la fin… C’est un combat loyal.

Pour résumer

Comme chaque année pour les 6 Nations, Ugo Mola perd de nombreux joueurs. Une situation qui le frustre et l’inquiète, mais qu’il doit accepter. Le sélectionneur s’est tout de même permis, sur un ton humoristique, de mettre un peu la pression sur les Bleus et leur staff.

 
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