Candidat à l’élection présidentielle de 2027, l’ancien Premier ministre Edouard Philippe a exposé quelques-unes des orientations de son projet politique. Il est également revenu sur certains événements récents.
Dans une longue interview pour Le Parisien, Édouard Philippe revient sur un certain nombre de points et de séquences politiques qui ont marqué l’actualité française mais aussi internationale. Il a également développé sa candidature à l’élection présidentielle de 2027.
Au-delà des mouvements tactiques des différents partis à l’Assemblée, Édouard Philippe a souhaité se présenter immédiatement comme présidentiel et ainsi se positionner au-dessus de la mêlée. Un de ses fers de lance : l’équilibre financier. « L’important, c’est l’esprit de responsabilité et l’équilibre financier. Cette réforme [des retraites] n’est pas parfait. Mais il accepte l’idée que pour garantir notre système de retraite par répartition, nous devrons travailler plus longtemps. Ce n’est pas populaire, je le sais.il témoigne dans les colonnes du quotidien.
« Il faut tout préparer »
Pour l’ancien député de LR, « La période politique actuelle ne permet plus de transformations majeures jusqu’à la prochaine élection présidentielle. Il n’y a pas de majorité, pas de mandat clair. C’est très frustrant »a-t-il indiqué. La faute à la dissolution ? « La décision de dissolution a été une décision désastreuse. J’ai l’impression que le Président de la République l’a reconnu lorsqu’il a formulé ses vœux.» Au sujet d’une potentielle élection présidentielle anticipée, Édouard Philippe répond : “Quand quelque chose peut arriver, il faut se préparer à tout.”
-Dans un registre plus léger mais non moins politique, le maire du Havre a également évoqué son apparence physique, son alopécie et la perte de ses cheveux. «Cela change votre apparence, votre visage, la façon dont vous vous regardez et celle des autres. Ce n’est pas rien. « En juin dernier, elle a commencé à repousser, sans traitement ni intervention chirurgicale. C’était drôle. J’avais l’impression de revivre la puberté.
publié le 18 janvier à 20h35, Gabriel Gadré, 6Médias
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