l’essentiel
A défaut de cérémonie de vœux, le porte-parole du groupe écologiste aveyronnais, Léon Thébault-Maviel a tenu une conférence de presse de rentrée.
Une manière, entre autres, de poser les jalons pour 2026, notamment en abordant localement les enjeux d’intérêt national. « Notre objectif est de devenir la première force progressiste en Aveyron », lance le « vert ».
Santé, éducation, voyages, service public… Avec son équipe, il veut mettre sur la table tous ces sujets sur lesquels ils ne trouvent guère d’aspects positifs. Avec Laurent Bimbault, Sarah Bonvalet et Claudine Bonhomme, ils ont voulu être les porte-parole de « 900 personnes identifiées au sein du mouvement écologiste ».
« Des communautés qui ne peuvent plus faire face à des transports compliqués dans les zones rurales » ce qui accroît la précarité “, en passant par « la baisse du nombre de lits dans les hôpitaux et la reconnaissance des métiers de santé », « le manque de reconnaissance du secteur enseignant et des agents », « la régression du bassin industriel aveyronnais »…
-Si les écologistes ont du mal à trouver un coin de ciel « vert », ils n’en restent pas moins convaincus que le « territoire » regorge de bonnes idées et de motivation. Et de lancer un appel à ceux qui souhaitent se mobiliser à leurs côtés. “ L’important, ce sont les valeurs que nous défendons, pas le logo.murmurent-ils*.
De même, dans la perspective des élections municipales, les écologistes « appel à des listes de rassemblements pour l’intérêt des territoires », disent-ils dans la perspective des élections municipales.
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