NARRATIF – Un mois après le cyclone Chido, de violentes intempéries ont aggravé les conditions de scolarisation des élèves. Sur place ou de retour en France métropolitaine, les enseignants s’alarment d’une situation dramatique.
La réalité mahoraise continue d’être brutalement rappelée à l’exécutif. La semaine dernière, à l’issue d’une réunion avec les organisations syndicales enseignants, la ministre de l’Éducation nationale, Élisabeth Borne, a maintenu le cap d’une rentrée le 13 janvier pour les 8.700 enseignants de l’archipel, celle des élèves étant prévue en janvier. 20. Dans des conditions incertaines, un mois après le passage dévastateur de Chido. C’était sans compter l’arrivée d’une nouvelle alerte cyclonique, qui a placé Mayotte en alerte rouge ce week-end. Les vents et les pluies torrentielles de Dikeledi ont entraîné l’arrêt du trafic local des ferries et la suspension des vols vers Mayotte, au moins jusqu’au 15 janvier. « La rentrée administrative a finalement été reportée au 14 Janvier, » déclare Agnès Andersen, du syndicat des cadres ID-FO. Mais les agents de l’Éducation qui ont quitté Mayotte pendant les vacances…
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