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un héritage mis en valeur sur la côte Ouest

En Colombie-Britannique, le premier ministre David Eby a souligné l’héritage de Justin Trudeau, au moment où d’autres hommes politiques réfléchissent déjà à leur entrée dans la course à la direction du Parti libéral du Canada.

Il a cité l’engagement de Justin Trudeau à réduire le coût des services de garde. dans des moments particulièrement difficiles pour le Canada.

Nous n’avons pas toujours été d’accord, mais je tiens à remercier Justin Trudeau d’avoir été premier ministre pendant les moments particulièrement difficiles que notre pays a traversés.

Une citation de David Eby, premier ministre de la Colombie-Britannique

David Eby a également fait part de ses craintes concernant les relations avec les États-Unis : Aujourd’hui, nous sommes confrontés à de nouveaux défis et à de graves menaces. Quel que soit le prochain premier ministre, nous devons nous unir, en tant que Canadiens, pour protéger les travailleurs et les entreprises contre des tarifs dévastateurs.

Jody Wilson-Raybould a subi des pressions indues de la part de Justin Trudeau, a conclu le commissaire à l’éthique. (Photo d’archives)

Photo : Reuters / Patrick Doyle

Le Premier ministre David Eby a perdu son plus proche allié à Ottawaestime pour sa part John Rustad, le chef du Parti conservateur de la Colombie-Britannique.

Il ne peut plus pointer du doigt Ottawa pour justifier des politiques radicales telles que les taxes sur le carbone, les plafonds d’émissions, l’approvisionnement sûr en médicaments, la décriminalisation et les politiques identitaires extrêmes.

Une citation de John Rustad, chef du Parti conservateur de la Colombie-Britannique

Parmi d’autres réactions marquantes en Colombie-Britannique, celle de l’ancienne ministre de la Justice sous la direction de Justin Trudeau, Jody Wilson-Raybould, qui a démissionné en 2019 après avoir fait l’objet de pressions de la part du premier ministre et de son gouvernement afin de négocier une réparation. entente qui aurait évité un procès à la firme d’ingénierie SNC-Lavalin.

Nous pouvons enfin tourner la page – et ce faisant, nous devons continuer de nous concentrer sur la construction d’un Canada plus fort dans un monde de plus en plus volatil et incertain.indiqua-t-elle.

J’espère que notre discours dépassera la partisanerie mesquine et toxique et se concentrera à nouveau sur l’élaboration de politiques publiques judicieuses pour guider notre avenir.a-t-elle ajouté.

De son côté, la chef du Parti vert du Canada, Elizabeth May, est revenue sur le début de la carrière politique de Justin Trudeau.

Après les élections de 2011, le Parti libéral a été repoussé loin et le député de Papineau s’est vu confier le coin arrière de l’édifice du Centre à Ottawa, assis avec moi, le premier député vert, et le reste du Bloc, qui comptait quatre députés. à l’époque.

Justin Trudeau a été recruté comme quelqu’un qui pourrait sauver les libéraux.

Une citation de Elizabeth May, chef du Parti du Canada

Course à la direction du Parti libéral

Très vite après l’annonce de la démission de Justin Trudeau, l’ancienne première ministre libérale de la Colombie-Britannique, Christy Clark, a réagi sur les réseaux sociaux.

En tant que libéral de longue date, j’ai hâte de me joindre aux dizaines de milliers de Canadiens qui seront appelés à choisir notre prochain chef.dit-elle.

Il s’agit de la plus grande occasion depuis plus d’une décennie de développer le parti et d’accueillir de nouveaux libéraux qui partagent nos préoccupations quant à l’avenir du pays. C’est une opportunité à ne pas manquer !

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Christy Clark, ancienne première ministre de la Colombie-Britannique. (Photo d’archives)

Photo : Christy Clark/Twitter

Les aspirations de Christy Clark ne sont pas nouvelles, mais elles marqueraient un changement évident au sein du Parti libéral, explique Nicolas Kenny, analyste politique et professeur d’histoire à l’Université Simon Fraser.

Elle est active sur le terrain, mais elle n’a pas la même conception que Justin Trudeauindique l’analyste. Il rappelle notamment le rapprochement de Christy Clark avec Stephen Harper lors de ses fonctions de premier ministre, et son travail avec John Rustad, actuel chef du Parti conservateur de la Colombie-Britannique, lorsqu’il était sous sa direction.

Ce serait tout un virage à droite pour le Parti libéral, qui voudrait peut-être conserver une image plus progressiste pour combattre Pierre Poilievre.

Une citation de Nicolas Kenny, analyste politique et professeur d’histoire à l’Université Simon Fraser.

L’ancien premier ministre libéral de la Colombie-Britannique n’est pas non plus très connu à l’extérieur de la province.estime Nicolas Kenny.

Un autre candidat possible dans la course est l’actuel ministre fédéral de l’Énergie et des Ressources naturelles et député de North Vancouver, Jonathan Wilkinson.

 
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