Le 15 janvier, Cécile de France sera de retour au cinéma dans Par Amour, un film d’Élise Otzenberger. Le terrain ? « Sarah et Antoine sont au bord de la rupture, fragilisés par un quotidien surchargé, entre le travail et leurs deux enfants. Un jour, Simon, l’aîné, confie à sa mère qu’il entend des voix. Si Antoine a du mal à comprendre le problème, Sarah décide de soutenir son fils. Jusqu’où sera-t-elle prête à aller par amour ?. A cette occasion, la comédienne plutôt discrète a accordé une interview à nos sœurs Madame Figaro vendredi 27 décembre. Elle a expliqué ce choix de discrétion et a également commenté son absence sur les réseaux sociaux.
L’actrice s’exprime sur son choix de rester discrète
“J.Il me considère avant tout comme un artiste, pas comme un personnage public », a-t-elle commencé par se confier, précisant qu’elle s’inspire de l’actrice Tilda Swinton, qu’elle considère comme son modèle en termes de jeu d’acteur. Cécile de France a alors expliqué qu’elle avait peur de trop en montrer. En effet, elle a précisé à Madame Figaro que si elle «trop révélé, [elle] j’aurais peur que les réalisateurs ne puissent plus [la] rêver dans leur caractère ». Pour elle, cette discrétion lui permet de «rester comme une page blanche ou une matière première pour pouvoir assumer de nombreux rôles différents.
Elle a évoqué son absence sur la toile et déclaré : “J’ai vite senti le danger d’y être exposé. Pour elle, être actrice »est déjà une fonction très narcissique et auto-orientée », donc inutile à ses yeux de »frimer sur les réseaux sociaux », voiture “c’est un abîme”, ce qui lui fait peur. “Instagram, c’est du travail, ça prend beaucoup de temps, je préfère garder le mien pour autre chose. a-t-elle conclu sur ce point.
“Cécile de France a quelque chose d’Hollywood”
À propos de son rôle dans Pour l’amourLa réalisatrice Elise Otzenberger le dit le mieux. Dans une interview, elle s’est confiée sur le premier rôle proposé à Cécile de France : « Cécile de France a quelque chose d’Hollywood : une puissance, une force, et même quelque chose d’un peu rétro, à l’image de Katharine Hepburn, dans sa manière d’habiter les personnages. Elle est arrivée très tôt dans le projet et a été très solidaire compte tenu de la difficulté de financer le film après le Covid. On ne se connaissait pas, nous n’étions pas amis, elle avait très envie de jouer dans le film et s’est impliquée. bas”.
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